Jésus disait à ses disciples : « Un homme riche avait un gérant qui lui fut dénoncé parce qu'il gaspillait ses biens. Il le convoqua et lui dit : " Qu'est-ce que j'entends dire de toi ? Rends-moi les comptes de ta gestion, car désormais tu ne pourras plus gérer mes affaires. " Le gérant pensa : " Que vais-je faire, puisque mon maître me retire la gérance ? Travailler la terre ? Je n'ai pas la force. Mendier ? J'aurais honte. Je sais ce que je vais faire, pour qu'une fois renvoyé de ma gérance, je trouve des gens pour m'accueillir. "
Il fit alors venir, un par un, ceux qui avaient des dettes envers son maître. Il demanda au premier : " Combien dois-tu à mon maître ? Cent barils d'huile. " Le gérant lui dit : " Voici ton reçu ; vite, assieds- toi et écris cinquante. " Puis il demanda à un autre : " Et toi, combien dois-tu ? Cent sacs de blé. " Le gérant lui dit : " Voici ton reçu, écris quatre-vingts. " Ce gérant trompeur, le maître fit son éloge : effectivement, il s'était montré habile, car les fils de ce monde sont plus habiles entre eux que les fils de la lumière.
Eh bien moi, je vous le dis : Faites-vous des amis avec l'Argent trompeur, afin que, le jour où il ne sera plus là, ces amis vous accueillent dans les demeures éternelles. Celui qui est digne de confiance dans une toute petite affaire est digne de confiance aussi dans une grande. Celui qui est trompeur dans une petite affaire est trompeur aussi dans une grande. Si vous n'avez pas été dignes de confiance avec l'Argent trompeur, qui vous confiera le bien véritable ? Et si vous n'avez pas été dignes de confiance pour des biens étrangers, le vôtre, qui vous le donnera ?
Sur la société
L’argent
15/09/2015
74 commentaires
L'amour que l'on donne est en apesanteur, il ne pèse rien mais est énorme pour celui qui le reçoit.
Aimons les invisibles, les discrets, les sans nom et tout ceux qui comme nous ont envie d'aimer.
Par SYLVESTRE14 le 18 septembre 2016 à 8 h 36
L'argent................tu le possèdes et tu cours le risque d'être possédé! ATTENTION, DANGER .............
Merci de nous le redire!
Par mic le 17 septembre 2016 à 20 h 42
"Ce gérant trompeur, le maître fit son éloge"
Voici une phrase qui m'obsède et je cherche toujours à la comprendre : pourquoi l'homme riche fait tout à coup l'éloge de son gérant alors qu'il lui annonce plus tôt qu'il sera congédié ?
Cela me paraît très contradictoire. Comment l'interpréter ?
Merci
Par Emma le 12 novembre 2015 à 10 h 56
La parabole du pauvre lazard et du mauvais riche, nous annonce le sort de celui qui garde égoïstement ce que le seigneur lui a donné et qui fait ne le partage pas .De plus cette derrière parabole affirme que celui qui reçoit le salut doit marcher dans la vie selon les principes de" la loi et des prophète " c'est a dire la parole de Dieu, or jésus lui même nous donne un de ces principes " Allez faites de toutes les nations des disciples "mat 28
"Si donc vous n'avez pas été fidèle dans les richesses injuste qui vous confiera les véritables?
Et si vous n'avez pas été fidèle dans ce qui est autrui ,qui donnera ce qui est a vous? Versets11
Si nous n'avons pas été fidèle dans cette tâche de distribuer la richesse injuste qui pourra nous confier les véritables celle des tabernacle éternels?
Et si nous n'avons pas été fidèle dans ce qui est autrui,c'est a dire Dieu, car le salut lui appartient, ainsi qu a ceux a qui il veut donner,qui pourra alors vous donner ce qui est à nous c'est a dire notre salut?
La réponse est personne .Notre condition sera celle des mauvais riche:perdu
Remercions le seigneur de nous donner cet avertissement solonnel,car dans son amour il veut nous donner la joie de participer au salut des autres,de les aimer, de les considérer quel qu'il soit.
Par brig le 15 septembre 2015 à 17 h 10
Le nouveau-né se nourrit de lait, et d'amour. De la douceur d'une voix, de gestes tendres. Il ne connaît de limite que la chaleur des bras qui l'entourent.
S'il est un instant de la vie où l'homme peut appréhender l'amour de Dieu, ce sont peut-être bien ses premiers. Premiers instants qui sont comme autant de parcelles d'infini. Premiers instants où tout est don, où il prend tout.
Instants fragiles et éphémères, très vite, il apprendra à se mesurer à ses frères, il apprendra à compter. Mais un jour, dans la nuit de Noël, en regardant l'enfant nouveau-né, peut-être pourra-t-il entendre en son cœur battre, un instant, l'écho du tout-petit qu'il a été. L'instant d'infini où l'amour est né.
Par Audrey le 15 septembre 2015 à 6 h 36
J'ai des problèmes financiers, et un copain me propose de m’avancer de l'argent, dois je accepter
il y a peu de temps déjà il m'a fait la cours il me respecte.Aussi, j'ai aussi prié le ciel pour qu'il m'éclaire et bénisse le peu d'argent que j'ai!!dois je accepter?
Par Tissier le 10 avril 2015 à 20 h 19
Si on prend le texte tel qu’il est sans réfléchir, le maître se félicite donc d’avoir un intendant qui soit un voleur ? Mais cette interprétation apparaît complètement stupide et idiote. Ce serait donc une vertu que d’être malhonnête et roublard ? Et le premier roulé, s’en félicite comme un cocu qui serait content de l’être !
Faire preuve de sagacité, c’est faire preuve de réflexion pour saisir la réalité des situations et non leurs apparences, à savoir se méfier de la légèreté dans l’appréciation des choses. L’innocence et la pureté dans l’attitude n’oblige pas à la naïveté ou à la niaiserie. Etre avisé, ce n’est pas être naïf. Et ne pas être naïf, ce n’est pas non plus être incrédule. C’est peut-être tout simplement ici lun des messages délivré par cette parabole.
Si on veut bien prendre la peine d’observer, on remarquera que bien souvent dans les Ecritures, certains sujets sont présentés de façon paradoxale, il y a des « blancs » dans le texte, des « non-dits », c’est certainement volontaire pour pousser à la réflexion, à la méditation, laquelle, notamment, permet de découvrir à un moment donné par ailleurs parfois innatendu, que l’explication était en fait toute simple. Tellement simple, qu’on se demande comment on a pu faire pour passer à côté pendant si longtemps.
Le maître de maison louerait donc son intendant voleur ? L’intendant qui a donc volé est loué ? Dit comme cela, mais c’est incompréhensible pour ne pas dire stupide. Louer un voleur ? De l’histoire évoquée, que peut-on en retenir ? Tout d’abord, il faut se replacer dans le contexte, cette affaire se situe dans un monde agricole, ce qui signifie que les métayers versent une partie de leur récolte au propriétaire en tant que loyer. A chaque récolte donc, l’intendant de la propriété fait les comptes avec les métayers et il est défini le montant à payer, en nature puisqu’il s’agit de récoltes. Et ce montant est matérialisé d’une manière ou d’une autre, ce peut-être par exemple par un billet. Si l’intendant est négligeant – ce qui n’a rien à voir avec le vol (à se répéter mille fois) -, le temps passant, il est possible que le métayer n’ait alors plus dans ses stocks le nécessaire pour payer, car il aura pu « taper dans le stock » - qui est resté chez lui à sa disposition dans ses hangars -, sans forcément qu’il y ait mauvaise intention, mais tout simplement trompé dans son jugement par une fausse abondance et poussé aussi par la nécessité de se nourrir ou l’opportunité d’augmenter son patrimoine en transformant une partie de ce stock – qui ne lui appartient pas en réalité puisque dû – en d’autres actifs, actifs hasardeux notamment. Au moment pour l’intendant de rendre des comptes au propriétaire, il s’aperçoit que le temps ayant filé, il ne peut plus encaisser ces loyers en nature en totalité parce qu’une partie à été tout simplement consommée. Et le propriétaire est informé du problème (notamment indirectement par certains bavards qui lui rapportent que l’intendant « ne fait pas son boulot », certains mêmes avec peut-être l’arrière pensée de prendre sa place), il s’alerte, demande à l’intendant les comptes qui tardent toujours à venir (c’est la bazar dans la comptabilité de l’intendant, il laisse filer le temps, c’est ici sa négligence effectivement coupable) et se met en colère en disant qu’il va le virer. Alors que faire ? Virer l’intendant comme il le lui a dit ? Cela ne fera pas rentrer ce qui est du. Mais pour faire rentrer ce qui est du, et comme les métayers n’ont plus les moyens de payer l’intégralité, il n’y aura pas d’autres solutions que de lancer des procédures, car les métayers eux-aussi sont coupables. Donc, bonjour l’ambiance dans la propriété avec à la clé la misère pour certains métayers qui seront en face d’une dette trop forte. Alors que se passe-t’il ? L’intendant est conscient de sa faute, il propose au propriétaire de faire rentrer ce qu’il est possible de faire, mais pour cela il faut que le propriétaire accepte de perdre. Et son intendant n’est au fond pas si mauvais, il n’a pas la mentalité d’un voleur, il s’est tout simplement laissé aller à la paresse et à la bonne vie, il l’engueule sévèrement et lui demande de régler la situation sans procédures judiciaires. Ce que fait l’intendant en faisant le tour de ses métayers et tout le monde se met d’accord sur la base d’abandon – d’abandon – sur ces créances tardives. Le propriétaire a un fond généreux, l’intendant a fait le « couillon » mais ce n’est pas un voleur. Les métayers, trop contents de voir que la demande de règlement tardait à venir, ont fait silence…cela les arrangeait, à court terme. Au final, à l’occasion de cette situation, le propriétaire revient sur le licenciement de son intendant, à cause de l’habileté qu’il a su déployer, tout en reconnaissant sa faute, pour régler – dans la paix – cette situation scabreuse.
Cela n’a rien à voir avec « louer un voleur ». Or de la façon dont cette parabole est parfois expliquée, cela laisse entendre que c’est le cas !!!. Incompréhensible.
En conclusion : un propriétaire généreux qui au final passe l’éponge en oubliant volontairement son droit – un intendant qui reconnaît sa faute et agit pour la régler au mieux – des débiteurs eux-aussi fautifs, soulagés de ne pas avoir un procès pour les forcer à payer leurs dettes. Tout cela ne rappelle rien ?
De ce qui précède, on peut faire le lien avec les réflexions suivantes :
Dans la parabole où les disciples demandent à Jésus combien de fois faut-il pardonner l’offense d’un prochain, on remarquera que la réponse en fait est « autant de fois que l’offenseur se repentira ». Mais s’il ne se repent pas ? DIEU lui-même ne peut pardonner sans repentir, le pardon dépend de l’attitude de l’offenseur. Si donc l’offenseur ne se repend pas, l’offensé est fondé à se protéger de ses agissements, c’est bien ce que DIEU fait en ne lui permettant pas d’entrer dans son « royaume », donc dans son environnement familier. Et se repentir, ne se borne pas simplement à des intentions, ce serait trop facile, cela n’a rien à voir avec « embrassons-nous Folleville ». Le repentir c’est agir pour essayer de réparer les conséquences de l’offense, c’est par exemple non seulement cesser de voler, mais restituer ce qui peut l’être, et c’est ici que se joue l’attitude de l’offensé qui doit savoir « jeter du lest », ne pas exiger au-delà de ce que les réalités permettent de faire, soit savoir abandonner son droit en faisant ainsi preuve de générosité (1). En conclusion, il y a une obligation de repentir, c’est elle qui est à la base du pardon, sinon c’est de la démagogie stérile et dangereuse, une fausse charité. L’offenseur, s’il constate qu’il a un boulevard d’impunité devant lui, n’apprendra rien sur ses turpitudes, il croira qu’il peut tout se permettre et s’endurcira dans la tyrannie, il risque de devenir irrécupérable, non pas pour la « bonne société » - l’exploitation de cette expression « bonne société » sur un ton d’ailleurs narquois et entendu, comme point d’appui dialectique de la pensée perverse de l’esprit de destruction, est une sorte de « pacifisme » en réalité complètement imbécile et génératrice de violences, mais intéressé car ouvrant la voie à la « prise de pouvoir », c’est ici l’arrière pensée des « bons apôtres » calculateurs de cette école de pensée - , mais pour lui-même, pour la communauté que ceux en poste dans le cadre de leur devoir d’état (parents, magistrats, militaires, éducateurs, etc.) sont tenus, tenus, de protéger.
(1) il semble que ce soit ici un des sens de la recommandation de Jésus quand il demande « d’abandonner également son manteau si on enlève la tunique, ou faire deux milles s’il est demandé d’un faire un ». Je paraphrase, ce n’est pas dit tout à fait comme cela, mais il semble que ce peut être l’idée. Car sinon, cela ne tient pas la route, si un voleur rentre chez soi, on ne va pas aller au devant de ses désirs et pourquoi pas également lui donner sa femme et puis sa fille ?
Par jean le 23 novembre 2014 à 8 h 49
Je n'ai jamais pas encore comprit « Faites-vous des amis avec l'argent trompeur »
La vie d’un âne
Je me suis trompé
Je suis pauvre et paumé
J’ai compté sur l’amitié
Mon ami m’a délaissé
Le bien portant m’a rejeté
Le pharisien m’a attaqué et fauché
Seul un frère oublié m’a aidé
Je suis un tas de fumier
Aimé par le jardinier
Nourriture pour le blé
Indispensable pour le verger
Valeur d’or pour le jardinier
Il m’adore dans son potager
Un jour je serai consommé
Je me suis trompé
Le monde doit s'améliorer
Avec moi-même je dois commencer
Seul Jésus m’a pardonné
Il suffit de le demander
C’est sa Mère qui m’a transformé
M’a appris à aimer et à pardonner
Je serai heureux ressuscité
Avec toi mon frère bien aimé
Avec toi mon Frère Jésus ressuscité
Avec toi ma Mère dans l’éternité
Je suis aimé, plus jamais désespéré
Ton frère réconcilié le sait .
Aimer, il suffit d’aimer .
L’âne de MARIE Pâques 1994 ads
Par arnold de smet le 8 novembre 2014 à 9 h 03
Amitié Claire
Par claire demerliac le 11 octobre 2014 à 14 h 20
Je tiens d'une source autorisée un élément entendu voici quelques années, alors qu'on venait de découvrir des "documents comptables" du temps de Jésus.
Ils éclairent la conduite de cet intendant infidèle ; c'est bien sur sa part à lui, celle qui lui revenait, qu'il remet aux débiteurs une partie de leur dette…
Son infidélité, ne viserait-elle pas son manque de sérieux à s'acquitter de la tâche qui lui avait été confiée… ?
Le maître le loue, me semble-t-il, de parier pour survivre , non sur l'argent, mais sur l'amitié reconnaissante de ses obligés...
AMH.
Par AMH le 7 octobre 2014 à 17 h 07
OUI... Quel homme peut se permettre de juger un autre ?
Seul Dieu peut sonder le cœur et les reins !
Merci pour cet éclairage de ce texte souvent mal interprété MERCI !
Par Cl@udio le 5 octobre 2014 à 18 h 57
Bonjour, ma soeur,
Je ne peux m'empêcher, en relisant ce texte avec vous, d'une part, à l'histoire de l'édification de l'Hôtel-Dieu de Beaune, et d'autre part, à ce que fut le service de l'Eglise pendant des siècles envers les plus pauvres, depuis l'évêque Saint Grégoire le Grand : obliger les puissants à remettre les dettes de leurs
assujettis ...
Bon dimanche. Avec vous dans le Seigneur.
Chantal
Par SAINT-BAUZEL épouse MARLIAC Chantal le 5 octobre 2014 à 13 h 40
A lire le blog, je pense que le sujet est sensible
C'est bien ce que nous observons actuellement: les riches, de plus en plus riches, qui détiennent en outre un pouvoir, se font des amis avec leur fortune et leur réservent les meilleures places.
Mais il peut y avoir des revers de fortune quand les malversations sont dévoilées, quand l'argent "malhonnête" doit être remboursé. ou quand la prison ouvre ses portes. Où restent alors les amis?
L'argent est trompeur, car on veut nous faire croire qu'il apporte le bonheur. Mais s'il dessèche les coeurs, peut-il rendre heureux? Jésus a dit: "Malheureux les riches..."
Inversement, alors que le chômage s'accroit avec la peur du lendemain, comment est reçue la parole "Heureux les pauvres"? Parole qui heurte, qui bouscule, j'imagine. Parole que nous pouvons recevoir quand nous ne manquons de rien ou que nous avons fait le choix de tout quitter pour suivre Jésus. Mais l'argent, à moins qu'on soit pris en charge par une communauté qui gère ses membres, nous en avons tous besoin pour vivre dans le monde. On dit bien qu'il ne fait pas le bonheur, mais qu'il y contribue. L'Eglise catholique est à l'origine de beaucoup de culpabilités à ce sujet. Ceux qui donnent ont l'impression de ne jamais donner assez, tant est grande la misère du monde;
Jésus lui-même a observé la vie de son temps et pris l'exemple du maître de la vigne, qui paie le salaire de ses ouvriers. Il n'a pas repoussé les riches qui sont venus à lui. Et il n'a pas contraint tous ses disciples au dépouillement. Par contre il a toujours invité au partage: que chacun offre quelques pains et quelques poissons. Il est sans doute illusoire, à moins d'être un saint ermite, de vouloir "tout " donner. Alors, mettons nos paroles en cohérence avec nos actes et vice versa et faisons aussi confiance à l'action de Dieu.
Par elly le 2 octobre 2014 à 18 h 14
merci les temoins de la culture biblique pas besoins de me recontacter et de m'envoyer vos mèssagers
Par kiki le 2 octobre 2014 à 15 h 45
Voilà mon histoire, le titre: le gérant HABILE ( non pas infidèle, traduction TOB)
Un homme riche renvoie le gérant de ses biens sur simple dénonciation. Le gérant se venge en falsifiant les comptes des débiteurs pour avoir un soutien auprès de ceux qu'il veut favoriser. Le maître loue le gérant malhonnête pour la malversation qu'il vient de faire. Il voit que le gérant est habile sur le plan financier. Le maître n'a pas l'air de considérer qu'il a encore été volé, cela ne l'intéresse pas car il est riche (pertes et profits). Le gérant croit sottement qu'il se fait des amis en minimisant la dette qu'ils ont auprès de son maître.
C'est la spirale de la corruption, c'est la perversité des hommes ! L'argent n'est pas mis en cause, c'est l'attitude des hommes envers la convoitise. L'argent est un moyen d'interaction en société. S'il devient l'idole, là est le problème.
Le maître de cette fable n'est pas un maître équitable, il engendre un mauvais serviteur qui agit dans l'ombre.
"La lumière brille dans l'ombre mais l'ombre n'a pas pu s'en rendre maîtresse" Jean 1-5.
Bonne chance, si nous comprenons quelque chose !
Par joseph le 2 octobre 2014 à 11 h 30
Magnifique. J'aime les commentaires de la soeur Lecu, ils sont souvent incisifs, à pic, au langage un peu décalé, celui-ci fait particulièrement mouche.. Il va rejoindre ma liste de "texte intéressant" à méditer..
Par mayez le 2 octobre 2014 à 10 h 14
Oui Marie,
je garde espoir, je sais que l'heure de Dieu n'est pas la nôtre et que c'est souvent lorsqu'on s'y attend le moins que Dieu ouvre les portes à son amour.
J'ai confiance en Dieu, je sais qu'aucune prière ne peut résister à son amour et à sa Divine Miséricorde.
Oui, j'essaie de vivre tout simplement avec l'amour de Dieu dans ma besace, chaque jour et de le faire partager, dans chacun de mes gestes et de mes paroles où que je sois.
Je ne force rien, j'essaie "d'être"avec mes petits moyens et je m'en remets à Dieu.
merci en tout cas pour votre "amour'
Par patrick le 2 octobre 2014 à 7 h 00
le parabole n'est pas bien Claire je dois relire
Par ruby le 2 octobre 2014 à 3 h 15
Qu'est-ce
qu'une parabole ?
Une histoire racontée à partir d'une réalité connue de tous mais marquée en son milieu par une extravagance , une démesure afin de nous amener à comprendre une autre réalité
que l'on retrouve en général à la fin du récit .
Cette histoire racontée doit nous être une aide et non pas une
complication , une difficulté .
A la fin du récit qui n'apparait pas ici ,Jésus précise qu'on ne saurait servir deux maîtres , Dieu et l'argent , que nous avons un choix à faire , choix qui ne peut être que celui de Dieu.
Pour parvenir à cette conclusion , la parabole part de ce qui est connu.
Ne pas honorer ses dettes amenait immanquablement à la prison .
Quand le gérant d'affaires de l'homme riche réduit de façon importante les dettes des débiteurs de son maître , son geste est à priori généreux , vient d'un bon sentiment .
Ce bon sentiment est perverti dans la mesure où il n'exécute pas cette opération sur ses biens mais sur ceux de son maître .
Le curieux , l'invraisemblable , l'incompréhensible vient du fait que le maître ne condamne pas un tel comportement , réaction anormale dans la vie normale.
Au contraire il félicite son serviteur pour son acte aussi déloyal qu'illégal.
L'incompréhensible encore c'est que Jésus semble conforter cette démarche .Ce faisant il force intentionnellement le trait , nous faisant entrer dans un monde non seulement imaginaire mais inimaginable , pour nous forcer à comprendre .
Comprendre quoi ?
Nous rappeler que si nous sommes dans le monde , nous ne sommes pas du monde .
Comprendre que nous sommes enfants de lumière et non pas des ténèbres .
Lumière de l'Esprit que nous recevons de par notre baptême, Esprit qui nous accompagne tout le long de notre vie .
Si les enfants des ténèbres peuvent par leur imagination et leur ruse , faire fructifier leurs affaires , à plus forte raison le pouvons-nous , nous qui nous disons héritiers du Royaume .
A plus forte raison pouvons-nous multiplier les dons que l'esprit nous a mis en chacun de nous .
Faisons preuve donc nous aussi d'imagination , d'audace , éloignons les peurs qui paralysent et agissons en charité et en partage .
Osons oser à la mesure ...ou la démesure de notre Dieu pour le servir et mériter ainsi véritablement le Royaume .
Par Léah le 2 octobre 2014 à 2 h 31
A Patrick,
J'allais poster un autre commentaire et je découvre votre message. J'y sens une lassitude teintée de tristesse. Je tente quelques mots...
Il y a tellement de dons de Dieu à partager! Pas seulement la foi. Après tout, nul n'est obligé de croire parce que nous croyons. La foi est une grâce. Pour qui ne l'a pas ou pas encore, nous pouvons passer pour des illuminés ou des pénibles, en tous cas, nous resterons incompris. Alors pas de dispute, pas de tristesse. C'est inutile.
Vous vous souvenez du conseil de Jésus à ses disciples, "quand dans une localité, on refuse de vous accueillir et de vous écouter, partez... " C'est aussi simple que cela. Ce qui ne signifie pas quand on vit en famille, abandonner les siens, mais ne plus leur parler directement de Dieu ou de la foi, s'ils ne peuvent entendre.
Parler des œuvres de Dieu et surtout agir par l'exemple. Ils vous voient prier, aller à la messe, être bon, pardonner.... C'est la meilleure façon de parler de Dieu. Les mots ne sont pas obligatoires. Ils ont certainement des yeux pour voir. Vos enfants pourront revenir à la foi dans quelques années. C'est assez fréquent.
Pour ne pas vous étioler et avoir le bonheur de partager votre foi et l'aider à évoluer, le mieux est d'en parler avec d'autres croyants.
Priez pour que vos fils reviennent à la foi. Sainte Monique, la mère de Saint Augustin, a prié des années et un jour, la conversion du fils est arrivée. Non pas au foyer, devant les larmes et les prières ou les admonestations de sa mère, mais dans une ville lointaine où il a entendu un prédicateur hors pair. Saint Ambroise. C'est peut-être d'une façon détournée, loin de vous mais avec vous et grâce à votre prière, que vos fils reviendront vers Dieu.
Gardez cet espoir surtout!
Par marie le 2 octobre 2014 à 2 h 02
Bonsoir et bonne nuit à vous chers internautes chez qui j'admire sincèrement la foi, oh oui, elle est là et cela me fait du bien de penser que toutes ces actes de foi aident à contrebalancer les dérives de notre époque. ce passage de l'Evangile nous questionne, nous travaille. Il y a quelques années, il me semble avoir trouvé un embryon de réponse que je vous soumets:.
Cet intendant ,c'est nous qui gardons jalousement nos biens, nos richesses si minimes soient-elles "on ne sait pas ce qui peut arriver ,n'est-ce pas "?
Je suis désolée de vous contredire, Anne, mais l'argent est un outil, un moyen qui sert à fixer, déterminer la valeur d'un bien,
d'un travail.Selon la manière dont il est employé, il peut être dénaturé, éloigné de sa fonction : fixer une valeur.
Q'en ai-je déduit personnellement ? Que mon salaire pouvait servir à reconnaître la valeur de certaines personnes croisées au fil des jours et de l'année et qui peinaient plus que moi.
Il y a 5 ans maintenant, que dans l'établissement de mon budget, j'attribue un pourcentage de cette part, que j'appelle "Part de Dieu ", ceci en dehors de l'action de carême, quêtes, etc. Et cette part est sacrée pour moi, si un mois ou l'autre elle n'est pas entièrement dépensée, le solde s'ajoute au mois suivant, C'est vrai que c'est contraignant et qu'une fois ou l'autre j'ai renoncé à un achat. Comme l'intendant de l'Evangile, j'aide à diminuer la dette de ceux qui peinent.
Par biniou le 2 octobre 2014 à 1 h 25
Merci bcp de nous aider à prier !
Par Christophe Bongard le 1 octobre 2014 à 22 h 25
Oui Marie, partager ce qu'on a reçu gratuitement..
Il m'arrive souvent de parler de Dieu autour de moi, de partager ce que Dieu m'a donné, à mes fils qui se sont éloignés de l'essentiel, à mon père qui seul depuis quelques mois n'arrive pas à se raccrocher à la vie et à d'autres; croisés ça et là sur mon chemin de vie. Mais, comme ce jeune homme riche, qui ne veut pas donner, car il a, croit-il de grands biens.
Tous restent sourds, comme si, la foi n'était pas pour eux, ils ne semblent pas intéressés.
Ils me voient vivre, savent que je prie, bien sur, ils me demandent de prier pour eux, mais voilà, ça en reste là, certains me disent, tu as de la chance de croire, je leur réponds qu'il suffit d'un peu d'humilité et de confiance, qu'ils n'ont rien à perdre, qu'ils devraient essayer, mais rien n'y fait.
Je leur dis parfois que la prière n'est pas une baguette magique, que sous prétexte que je prie pour eux, ils peuvent se sentir protéger, et faire ce que bon leur semble...
Oui, je partage ce que Dieu m'a donné, ou plutôt non le partage n'est pas toujours possible, car pour partager, il faut que l'autre accepte ce qu'on lui offre, et en matière de Dieu, ce n'est pas souvent le cas.
Ou alors je m'y prends vraiment très mal...qui sait, peut-être
Par patrick le 1 octobre 2014 à 22 h 07
"Celui qui est digne de confiance dans une toute petite affaire est digne de confiance aussi dans une grande"
Par Marie-Hélène le 1 octobre 2014 à 21 h 26
Chacun comprend ce texte différemment .... nous avons tous besoin de l'Esprit saint pour nous éclairer & nous guider dans toutes nos démarches ... . Dieu nous demande de rester vigilants .... tous ceux qui se présentent en amis dans notre vie ne sont pas tjrs des vrais amis ...
Faut se méfier des fausses apparences ....l 'INTENTION justifie l'acte & non pas son résultat .....
La confiance est comme (l'intention )( ne se voit pas ) mais se prouve ......faut l'attendre .... elle avance .... il lui faut du temps ........
Par Najoi le 1 octobre 2014 à 21 h 22
et si on n'est pas habile en"affaires", ni clairvoyant ?
Par RONZE le 1 octobre 2014 à 21 h 05
imperméable, je reste imperméable à ce texte
tout comme "charité bien ordonnée commence par soi même" que je n'ai compris que très tardivement je reste IMPERMEABLE à ce texte dommage Gnoel
Par dumortier le 1 octobre 2014 à 19 h 45
imperméable, je reste imperméable à ce texte
tout comme "charité bien ordonnée commence par soi même" que je n'ai compris que très tardivement je reste IMPERMEABLE à ce texte dommage Gnoel
Par dumortier le 1 octobre 2014 à 19 h 45
Hou là là!! Voyons,il n'y a pas sacrilège de faire appel à un théologien.Au contraire,car l'Esprit Saint n'est hélas pas toujours au rendez-vous pour nous éclairer.J e suis d'accord avec Joseph 14h22.
Par monette le 1 octobre 2014 à 19 h 23
Même en lisant et relisant, c'est un évangile difficile à comprendre; car trouver la solution de son incompétence en utilisant les biens que l'on est censé gérer ne va pas de soi.............
Par MICHEL le 1 octobre 2014 à 18 h 57
A Marie,
Merci pour votre commentaire. Mais je ne suis pas d'accord avec vous car " un acte motivé par l'intérêt ne peut pas être bon ". Un acte peut avoir des conséquences positives même si la motivation est égoïste mais la vraie motivation est l'aspect fondamental qui régit et dévoile le cœur de l'homme bon ou mauvais.
Par joseph le 1 octobre 2014 à 18 h 28
Merci à Sœur Anne et à Jean Marc , à lire et à relire !
Ce passage d’Evangile s’éclaire tout doucement Je pense aussi au Lys et à la tourterelle, aux disciples que jésus envoie porter la bonne nouvelle de par le monde, sans provisions, à la vieille femme du temple qui donne son obole alors qu’elle n’a presque rien pour vivre …………………. Rien de trop, juste ce qui est indispensable en sommes-nous capables ???
Par Marie-Madeleine le 1 octobre 2014 à 17 h 59
Pour reprendre la réflexion commencée plus bas, (merci Marie pour votre commentaire !) je ne crois pas que Jésus cautionne dans cette parabole ce que dit le maître. Je crois qu'il fait dire au maître quelque chose comme "bien joué"... selon les critères "du monde" dont le maître fait également partie... Il y a tant de tractations financières immorales qui échappent à la légalité, ou qui, lorsqu'elles sont citées en justice, sont défendues dans des procès uniquement procéduriers en dehors de toute morale.
Il me semble que Jésus dit ensuite : " Faites-vous plutôt des frères et des sœurs avec l'argent, pas des complices... "
Bonne soirée !
Par Paul (Belgique) le 1 octobre 2014 à 17 h 20
Grand merci Marie pour votre très belle analyse de cette parabole du gérant infidèle.
je n'ai envie que d'une chose aujourd'hui : reprendre la belle phrase de Saint Augustin " La mesure de l'amour, c'est d'aimer sans mesure".
Par BRIGITTE le 1 octobre 2014 à 17 h 06
«Qui décide de ce qui vaut et de ce qui ne vaut rien ?»
Dans notre monde capitaliste on utilise l'argent pour évaluer tout ce qui est et lui donner une valeur dont les grandes bourses financières se chargent aisément avec leurs acheteurs et revendeurs spéculateurs... L'argent permet de donner une valeur à tout, de se rendre maître de tout et de s'approprier de tout, même de la vie...Pourtant la vie nous est donné gratuitement par Dieu...Les autres créatures terrestres que sont les animaux et les plantes ont-elles besoin de ce trafic financier pour vivre et survivre ? Pas du tout...Et pourtant ils jouissent de leur vie ...Voilà où l'argent est trompeur...Il permet de donner une valeur à des biens, de transformer la vie en marchandise et de se prémunir d'un pouvoir sur les choses qui n'appartient qu'à Dieu...Seul dans la nature l'humain est capable de se tromper ainsi, et par surcroît de tromper l'autre...Seul l'humain est capable de se donner le pouvoir d'évaluer tout ce qui existe, non seulement pour se l'approprier, mais pour s'en servir comme objet de pouvoir...
L'argent lui permet de s'approprier de ce qui, au fond, ne lui appartient pas...Il est trompeur parce que sa possession lui donne l'impression d'améliorer la qualité de sa vie....Pourtant la vie ne lui appartient pas...Elle n'appartient qu'à Dieu, même s'il nous la donne...Cette folie humaine de chercher à se donner du pouvoir sur ce tout qui existe n'est qu'une illusion qui trompe l'acquéreur...Car les biens accumulés ne passent pas le pont de la mort...Voilà encore où l'argent est trompeur...Et pourtant que de bêtises guerrières pour s'approprier le pouvoir qu'il confère, pouvoir sur des vies qui ne lui appartiennent pas...Trop d'avoir tue l'être...Trop de biens tuent la vie...Trop d'argent tue l'amour...Voilà où la finance est trompeuse en tuant la vie en se l'appropriant au lieu d'en soutenir l'évolution...
Par Jean-marc Simard le 1 octobre 2014 à 16 h 12
Hier, un jeune homme bien sous tous rapports mais riche ne peut se résoudre à abandonner ses richesses, condition ultime pour suivre Jésus ou plus exactement entrer dans le royaume de Dieu.
Aujourd'hui, un gérant pas très honnête et menacé de ruine par la perte de son emploi, est félicité par Jésus.
Pourquoi? Qu'a-t-il de plus que ce jeune homme que nous avons assez naturellement tendance à plaindre?
Dans son refus de se séparer de ses richesses, le jeune bien sous tous rapports, manque singulièrement d'ouverture à la volonté de Dieu et partant, à la charité. Ses richesses auxquelles il tient, l'entravent dans sa liberté et dans la charité envers autrui. Bref, il ne pense qu'à lui, va garder pour lui ses richesses et finalement repart tout triste. Pas de joie sans partage.
L'attitude du gérant, pas très honnête, pas très "catholique" est tout autre. Se sentant menacé, il ne se replie pas sur lui-même, il va pour s'en sortir, faire profiter les débiteurs de son astuce dans l'espoir que, reconnaissants, ils sauront bien lui rendre grès, lui "renvoyer l'ascenseur" quand il sera privé d'emploi et de ressources.
Il a compris qu'on ne vit pas tout seul. Au lieu de se condamner à l'isolement, il joue d'astuce, certes, mais dans cette astuce, il fait profiter d'autres que lui.
Alors, bien sûr, il partage des biens qui ne lui appartiennent pas, tout ça sur le dos du maître. Oui, et ce n'est pas bien.
Mais, ce n'est pas ce que Jésus considère, ni le maître qui est Dieu.
Jésus considère l'essentiel, comme d'habitude. Il ne porte pas de jugement moral. Il est venu pour sauver et non pas pour juger. Il est venu nous indiquer le chemin en nous donnant un mode d'emploi.
Donc, ici, comme à son habitude, Il va à l'essentiel.
Et quel est l'essentiel quand Il sait parfaitement nos manques, quand Il sait que nous sommes sans cesse redevables au Seigneur mais bien incapables, pour une grande majorité, d'être reconnaissants et de savoir gérer avec droiture ("justice" en langage biblique) et charité tous les biens et bienfaits qu'Il nous procure. Sachant que tout vient de Lui, tout est donné par Lui, nous sommes à vie dans ce monde, des gérants, des intendants des biens du Seigneurs et non des propriétaires. Cette parabole nous concerne tous et chacun. Comment gérons-nous les biens accordés par Dieu?
Donc, l'essentiel est de nous dire : si vous, qui êtes incapables de gérer avec droiture les biens de Dieu, vous les gardez pour vous, là est la faute, la mauvaise démarche, celle qui vous barre la porte du royaume. Par contre, si vous qui êtes de mauvais gérants, avez au moins la réaction de distribuer entre vous, ce qui de toute façon ne vous appartient pas, alors, vous êtes sur la voie. La voie c'est l'amour entre frères, plus important que tout. Et l'amour partage, l'amour ne garde pas pour lui.
En réalité cette malhonnêteté du gérant illustre notre lot commun. Nous sommes tous en position de malversation car nous agissons avec ce qui nous ne appartient pas. Sachons au moins le reconnaître comme l'intendant de la parabole et partageons ce qui ne nous appartient pas. C'est le moins que nous puissions faire.
Partageons la terre, l'eau, les mers, partageons les richesses naturelles, partageons nos dons, partageons puisque nous avons reçu gratuitement.
Personnellement, j'apprécie beaucoup la méditation de sœur Anne. Pourtant, beaucoup de participants disent ne pas comprendre cet évangile ni trop saisir la méditation.
En y réfléchissant, c'est peut-être à cause d'une lecture moraliste qui en est faite. Comment le Seigneur peut-il féliciter la malhonnêteté?
Mais ici, le Seigneur ne félicite pas la malhonnêteté, il voit la solidarité et accepte de nous que nous fassions des actes bons, même motivés par l'intérêt, pour vu que nous nous entraînions au bon et au bien : la charité entre frère. Le reste viendra plus tard.
Dans son enseignement, Il va jusqu'à se mettre à notre niveau quand Il nous conseille : bon vous êtes dans le monde du calcul et de l'intérêt, très bien, mais au moins raisonnez jusqu'au bout, quel est votre intérêt véritable, cet argent qui passe ou l'amour qui ne passe pas? Choisissez donc ce qui ne périt pas.
On pense à Blaise Pascal qui reprendra cette façon de raisonner avec son célèbre pari. Mais je m'éloigne...
Par marie le 1 octobre 2014 à 15 h 56
Merci Sœur Anne pour votre méditation, merci de vous donner tant de mal pour nous faire comprendre ce passage de l’Evangile. Il reste très fermé pour moi, il me heurte et c’est cependant sans aucun doute, un passage qui a de la valeur aux yeux de Dieu, sinon il ne serait pas là.
Je vais alors le confier à ma Foi c’est-à-dire : « croire sans comprendre » et supplier le Seigneur de m’envoyer son Esprit afin que je puisse un jour, le « comprendre et croire………….. »
Par Marie-Madeleine le 1 octobre 2014 à 15 h 23
Je ne comprends pas cet évangile, ni ne comprends sa place dans la bible....
Il me semble contraire !
Eclairez-nous davantage sur son sens et sa raison d'être puisque vous nous le proposez à notre méditation...
Merci.
Par véronique le 1 octobre 2014 à 15 h 21
Comme tout le monde, ma première réaction est d'affirmer haut et fort que je ne comprends rien et puis je lis ces 34 commentaires qui m'ont précédé et la parole s'éclaire ! merci pour tant d'intelligence à comprendre et tant de foi exprimée !
Par DUBOIS le 1 octobre 2014 à 15 h 20
s o s a un théologien la honte osé dire ça !
moi aussi j’ai beaucoup de mal parfois a bien comprendre
mais le temps apporte parfois des réponses
alberte
Par Gombaud le 1 octobre 2014 à 15 h 02
Moi non plus je n'ai jamais compris l'éloge qu'on peut faire d'une personne malhonnête.
L'argent n'est pas trompeur, l'argent n'est pas malhonnête. L'argent est une matière, un métal et on peut en faire ce que l'on veut, s'il vous appartient. L'intendant est certes apparemment habile mais malhonnête. Je ne vois pas en quoi il peut être loué, c'est un pauvre type qui cherche à s'en sortir par des moyens frauduleux et il ne trouvera certes pas d'amis dans sa transaction. Je ne comprends pas le rapport avec le royaume de Dieu. SOS à un théologien connaisseur des Textes dans leur original ! Merci.
Par joseph le 1 octobre 2014 à 14 h 52
Bonjour, sœur Anne, et toute la communauté ! (Quel bonheur de se rendre compte de la dimension de ce bonjour ! Merci Internet !)
Je pense qu'il y a deux situations, dans cette parabole. Celle du monde et celle proposée par Jésus.
D'abord celle de ce monde, où les relations sont habilement tissées dans la société, avec des "petits arrangements entre amis". L'entraide est alors "achetée" par des compromissions pas très honnêtes. Que ce soit dans les affaires ou dans la politique. C'est comme cela que je comprends que "les fils de ce monde" qui connaissent tous les trucs, sont plus habiles que ceux de la lumière.
Puis Jésus conseille à ses disciples de se faire de vrais amis, avec ce même argent, non par le calcul mais par le vrai partage. Ce vrai partage ne peut se construire que dans la confiance et la gestion honnête des biens.
Il me vient une image, à ce propos qui e rappelle que ne suis pas étranger à cette tentation : Lorsque je remplis ma déclaration d'impôts : " Vais-je tout déclarer... alors que je vois combien les autres trichent ou gaspillent l'argent de l'Etat dans des projets inutiles ou électoralistes ? ". Jésus ne méprise pas l'argent, qui n'est qu'un objet réel ou virtuel. Il nous invite à être attentifs à l'esprit qui anime notre gestion, de nos biens et des biens de la collectivité (d'autrui). Mais j'aime encore plus penser à une réunion festive animée par une vraie amitié ou même une réconciliation. Bonne journée à tous !
Par Paul (Belgique) le 1 octobre 2014 à 13 h 04
Je suis rassurée de lire que beaucoup d'entre nous ne "pigent" pas le sens de tout cela et même la méditation de sœur Anne n'éclaire pas ma lanterne ; se faire des pseudo-amis avec l'argent n'est pas nouveau et ne me semble pas être une vertu. Cet intendant me semble être un escroc qui vole son maître sciemment: qu'a-t-il à perdre puisqu'il va être viré? En revanche faire profiter plus pauvre que soi de son argent oui, mais de manière désintéressée ; et c'est ça qui me semble important. Se faire des amis avec l'argent trompeur pour qu'ensuite ils vous accueillent, c'est rêver!!! Le jour où vous vous cassez la figure il n'y a plus personne...ou alors je n'ai rien compris à ce texte .
Il serait bon que lorsque nous sommes aussi nombreux à ne pas comprendre, qu'un éclairage supplémentaire, formulé différemment soit proposé....Peut-être que ce soir j'aurai suffisamment cogité pour trouver un sens à tout ça...mais j'en doute!
Par Gabrielle le 1 octobre 2014 à 13 h 04
Je ne comprends pas cet Evangile ,et , pour une fois , la méditation de Soeur Anne , si lumineuse d'habitude, ne m'éclaire pas !
Par janine le 1 octobre 2014 à 12 h 48
Utiliser l'argent trompeur et un jour dans la demeure ceux qui l'on fait et vous l'on donner vous accueilleront dans la joie dans la maison du Père. Par la miséricorde de Dieu le voleur est pardonner s'il accepte de recevoir cette grâce et nous qui avons reçu cette argent par l'amour de Dieu nous seront remercie d'avoir accepter et d'avoir permis par nos prières la conversion de ses pêcheurs. La grâce de Dieu est immense et il est mieux de ne pas juger et laisser l'esprit saint nous guider dans cette rencontre. Pas et joie à tous.
Par Lydie le 1 octobre 2014 à 12 h 46
Trop ardu pour moi,ce passage de l'Evangile,même après la méditation. L'argent est un faux ami? Vraiment trop subtil pour moi aujourd'hui.... Mais je suis assoiffée d'apprendre,je ferai donc une relecture,plus tard dans la journée,ainsi avec l'aide de tous les commentaires,je saisirai peut-être un peu plus le sens!! Belle journée à tous.
Par monette le 1 octobre 2014 à 11 h 41
AVOIR ou ETRE?L'argent ,selon moi,n'a que la valeur que l'on veut bien lui accorder.....Utile.......sans doute ! Mais attention.....Tu possèdes et c'est TOI qui es Possédé .
Par M.T. le 1 octobre 2014 à 11 h 11
Voici comment je comprends cette parabole:
L'ARGENT EST TROMPEUR, donc il ne faut pas vivre pour l'argent, mais il doit ETRE UTILISE HABILEMENT POUR SERVIR LES DESSEINS DE DIEU.
Jésus nous invite à être aussi habiles que les escrocs dans la gestion de l'argent mais avec un autre but: celui d'aider les autres
Par Evelyne le 1 octobre 2014 à 10 h 27
moi non plus je n'ai rien compris !!!
vive la foi du charbonnier ???
Par marthe le 1 octobre 2014 à 10 h 16
Je n'ai jamais pu vraiment comprendre ce passage de l'Evangile. Peut être que v/commentaires m'y aideront. Que Dieu vs bénisse.
Par tina le 1 octobre 2014 à 10 h 08
J'avoue n'avoir pas tout compris, voire rien compris du tout à ce texte e à son commentaire, j'en reste un peu perplexe...
Par eleo le 1 octobre 2014 à 9 h 41
Merci pour la phrase " la douce caresse du vieillard sur la main de sa vieillarde" cela me rappelle la délicatesse de mon mari décédé il y a 1 an
Par EVELIN le 1 octobre 2014 à 9 h 30
Je rejoins Andrée Anne : il y a comme ça, dans le NT -dont le sens est globalement plus que clair- qqs rares paraboles pour le moins énigmatiques, que même la finesse d'esprit de soeur Anne Lecu n'arrive pas à me les faire comprendre.
Ma foi, je n'en fais pas un "fromage", et me dis que le Grand Manitou a bien raison de s'amuser, lui aussi, à nous taquiner gentiment en nous faisant phosphorer..
Mais quand même, au jour du départ d'ici-bas, je n'hésiterai pas à Lui demander qu'Il veuille bien m'expliquer le sens de ces qqs textes mystérieux. Et j'en profiterai pour lui rapporter que les choses ne tournent vraiment pas rond sur Terre, et qu'il serait bon qu'Il y mette bon ordre..
Par Philippe J le 1 octobre 2014 à 9 h 28
Un proverbe oriental dit:"la richesse attire les amis, la pauvreté les éloignent". Je ne suis pas sûre qu'après avoir eu des amis grâce à l'argent, ces derniers restent fidèles si je redeviens pauvre ...Pour ma part, je trouve qu'il vaut mieux se faire des amis grâce à notre richesse intérieure . Mais derrière cette parabole étrange, ceci veut peut-être dire celà ..?
Par Isbergue le 1 octobre 2014 à 9 h 27
Tromper et voler son maître qui vous renvoie, associer d'autres dans ce 'vol organisé' pour se faire des obligés en vue des mauvais jours tout proches....c'est ce que font les fils de ce monde et c'est calcul habile d'agir ainsi, semble dire Jésus.
Et pour vous, fils de la lumière ? Comment vous faire des amis avec l'argent, si ce n'est en étant dignes de confiance dans des affaires d'argent qui sont tellement minimes à côté des biens éternels ? Et si vous êtes fiables pour ces petites affaires, qui sont comme un écolage pour vous, affaires "étrangères" à votre nature de fils de lumière, de fils de Dieu, vous le serez aussi pour le bien véritable, qui est vôtre. Quel est ce fameux bien véritable, ce "trésor" pour lequel on peut tout vendre ? Sans doute la paix intérieure, la joie d'une intimité avec le Seigneur, la joie d'un partage fraternel avec d'autres...
Par Thérèse le 1 octobre 2014 à 9 h 24
Le manque d'argent, la misère, la désespérance... hier,une jeune femme de 30 ans mourrait dans la rue dans une petite ville pas très loin de chez moi.Aide-nous Seigneur à poser notre regard et à aider comme nous le pouvons, ceux de nos frères qui en ont le plus besoin.Si certains s'enrichissent( au dépens des autres), beaucoup ont du mal à vivre normalement.C'est le cas dans nos familles, dans notre entourage. Bénis sois-tu Seigneur, Toi qui donnes sans compter.
Par DESLIENS le 1 octobre 2014 à 9 h 24
Merci Soeur Anne pour votre méditation.
Merci Mahona pour votre commentaire réaliste, car c'est bien vrai,
quand l'argent vient à manquer, les amis disparaissent. Avec
Jésus, LUI, il donne son Amour gratuitement.
Bonne journée à vous tous.
Par F.D. le 1 octobre 2014 à 8 h 52
Certes l'argent ne fait pas le bonheur mais si l'argent ( le bon argent ) il peut rendre un peu de sourire à celui qui en a besoin pour vivre décemment Dans ce monde actuel malgré les progrès il y a encore trop de pauvres La misère existe partout et tous ces frères etsoeurs ont alors grand besoin de nous Dans cette société de consommation , si on ne possède pas d'argent on ne peut pas vivre ....Merçi ô mon Dieu d'être toujours là. ...Merci ô mon Dieu de nous guider sur notre chemin de pèlerinage Sachons tous et toutes partager et aider les autres avec le bon argent ...De Brigitte le 1er octobre à 9h
Par ory le 1 octobre 2014 à 8 h 51
Je trouve que ce passage d'évangile est très actuel.
On fait plaisir à ses amis afin de créer un petit cercle qui le jour venu vous rendra la pareille: "Tu me dois un service..." C'est ainsi que se crée une société "corrompue. Jésus nous incite à
être non corrompue mais à mettre notre intelligence au service d'un monde plus "léger "meilleur" où tout ne se mesure pas en termes d'argent, ce qui est le plus fréquent.
Par Gladys le 1 octobre 2014 à 8 h 42
Chère Sœur Anne (si vous me permettez de m'adresser ainsi à vous) je suppose que lorsque vous mentionnez les "valeurs" vous faites allusion aux valeurs pécuniaires (mobilières ou autres) et non celles qui ont mis des millions de personnes dans la rue pour défendre un certain type de société.
A nouveau, un texte ambigu dont le sens est difficile à saisir. Ce gérant qui pense trouver des amis grâce à son subterfuge devrait savoir que lorsque l'argent s'en va, souvent les amis aussi disparaissent.
Par mahona le 1 octobre 2014 à 8 h 35
C'est avec impatience que j'attends la méditation de soeur Anne Lécu. Une méditation profondément ancrée dans la foi et une légèreté merveilleuse qui nous permet de goûter ....la vie toute simple et d'y reconnaître les signes ....de l'Esprit . Elle sait même nous suggérer d'aller à la pêche avec élégance. Elle est merveilleuse. Un grand merci.
Par Mares Marie-Luce le 1 octobre 2014 à 8 h 33
J'ai du mal à suivre soeur Anne. En quoi ce gérant trompeur n'est-il pas avare ? Le texte ne le dit pas. En quoi, en libérant d'une partie de leur dette ceux qui avaient des dettes envers son maître fait-il preuve d'amour envers plus pauvres que lui en les libérant du joug de la servitude ? Auparavant il les a écrasés du poids de son autorité et de sa position. Et là, il se fait des obligés, pas des amis ! Jésus, au contraire nous invite à remettre en cause l'attitude du gérant trompeur et l'usage de l'argent trompeur. Il nous propose un basculement, un renversement de notre agir. Il nous invite à utiliser l'argent en aidant le prochain, comme le fait le bon samaritain, en gérant honnêtement le bien du maître -digne de confiance pour des biens étrangers-, en agissant avec honnêteté et compassion envers celui qui est dans le besoin et qui a des dettes. Et s'il advient qu'un jour nous n'ayons plus d'argent, ou que la mort nous en détache définitivement, nous aurons un véritable trésor celui de l'amour de véritables amis, celui du Tout Amour. Jésus nous invite à être digne de confiance en toutes choses, en vue d'être digne de recevoir le bien véritable. En filigramme, il s'agit d'une condamnation sans appel de la malhonnêteté, du mensonge, de la tromperie, de l'action intéressée à un profit illégitime. Jésus nous invite à utiliser l'argent pour le bien commun et ainsi se faire de véritables amis, sur terre comme au ciel : "... afin que le jour où il ne sera plus là, ces amis vous accueillent dans les demeures éternelles ".
Par Mimajo37 le 1 octobre 2014 à 8 h 32
merci soeur Anne pour votre méditation à laquelle j'adhère tout à fait
signé : une autre Anne
Par gouttard le 1 octobre 2014 à 8 h 21
Peut-on voir l'Eglise dans cette parabole? C'est vrai que c'est difficile de se projeter dans ce texte. Mais l'argent sert à faire le bien comme le mal. Utilisons-le pour l'éternité!
Par Liselle le 1 octobre 2014 à 7 h 31
Ce texte pourrait être compris de plusieurs façons :
L'homme riche c'est le bon Dieu .....
Le gérant ( ceux qui représentent l'église & font l'intermédiaire entre nous & Dieu) . ( ils se trouvent qu'ils ont des difficultés à appliquer tout ce que Dieu leur demande .
Alors , ils cherchent des moyens pour ne pas perdre leur tâche & leur mission . Ils utilisent leur ( disons) savoir & habileté pour plaire à Dieu & aux fidèles à la fois .
" C'EST PAS UNE TÂCHE FACILE DE GERER LA LOI DU CIEL " .
Est - ce c'est facile de trouver la confiance ?? où ? & en qui ? en Quoi ?
Gardons Espoir !!!!
Merci Sœur Anne de nous rappeler Qu'il nous reste l'unique ^MÂITRE qui lui ne pèse jamais ses dons !!!!
Par Najoi le 1 octobre 2014 à 7 h 29
merci beaucoup c'est bon, c'est nourrissant!
Par Mathylde le 1 octobre 2014 à 7 h 21
je n'ai jamais été à l'aise avec cet Evangile car le gérant trompe son maître même si il aide autour de lui et surtout il aide pour "se tirer d'affaire"
Par BEGOC le 1 octobre 2014 à 6 h 53
L'argent a été inventé pour faciliter nos échanges de biens et de services et a remplacé le troque...cela partait d'une bonne intention...or notre "perversité" fait que des personnes s'enrichissent aujourd'hui avec de l'argent sans créer de biens , ni de services...et l'évaluation des gens se fait part leur richesse en banque plus que par leur apport "réel" à la société...cette situation va à l'encontre de notre évangile , de la gratuité de nos services méprisée souvent par le pouvoir temporel...aide nous Seigneur à faire valoir la valeur de l'ETRE sur celui de l'AVOIR; dans nos sociétés occidentales ou l'argent devient "ROI"....
Par Louis le 1 octobre 2014 à 6 h 52
D'un côté, un homme riche -aveuglé- fait l'éloge d'un gérant qui règle promptement la gérance de ses affaires en diminuant la dette et en espérant vivre de la reconnaissance du client.
Mais il a trompé son employeur:
Jésus généralise au sujet de l'argent et dit que cet argent est trompeur !
Toutefois, l'amitié acquise dont le gérant tirera parti pour vivre, Jésus fait son éloge en valeur d'éternité.
Tout en mettant à nouveau en garde contre la tromperie: car un petit trompeur devient vite un grand trompeur !
Jésus souligne alors surtout qu'il existe un BIEN VERITABLE pour lequel il faut être digne de confiance pour qu'il nous soit confié.
Par exemple, un médecin qui perdrait l'occasion d'exercer son Art - le bien véritable- parce qu'il réclame un tarif plus élevé que la convention qu'il a signée -l'argent trompeur-
Il y a des exemples à foison, aussi en politique...de pertes d'un bien véritable !
Par Marie-Christine le 1 octobre 2014 à 6 h 37
Eloge de la corruption ? Qui veut la fin veut lesmoyens ? ce texte est peu compréhensible......... au moins pour moi
Par alain le 1 octobre 2014 à 6 h 36
Pour moi aussi cet évangile est difficile. Dans la vie on fait ce qu'on peut et pas ce qu'on veut. Je m'emploie à placer Dieu dans ma vie de chaque jour, dans la charité du Christ.
je voudrais être comme un oiseau du ciel qui ne moissonne pas, qui n'engrange pas et penser " Dieu y pourvoira "
Merci pour ce message qui place Dieu dans ma vie, même si c'est difficile. L'Amour de Dieu est infini
Par Jackie le 1 octobre 2014 à 6 h 36
Ai-je bien compris ?
Cet évangile nous indique que l'on peut se faire des amis avec le bien d'autrui, mais que cette amitié est superficielle, éphémère. Celui qui commet un petit larcin est capable d'en commettre un grand. Par conséquent plus personne ne lui fera confiance.
La confiance se mérite et doit être respectée en tant que telle.
Alors respectons le droit chemin pour accéder aux demeures éternelles.
Par SYLVESTRE14 le 1 octobre 2014 à 5 h 49
L'amour demeure l'argent passe et notre Dieu reste l'unique juge.
Dieu est amour et juge que sur l'amour; il nous dira qu'a tu fais avec amour a ton frère et regardera la liste de nos biens faits bien que le péché lui déplait
Demandons au Seigneur d'augmenter en nous la charité et le don de l'amour afin que nous nous aimions les uns les autres
Par talou le 1 octobre 2014 à 5 h 49
Je n'ai jamais compris cet évangile et malheureusement le commentaire de soeur Lécu ne m'aide pas davantage.
Dommage......
Par andree anne le 1 octobre 2014 à 5 h 08