Si l'un de vous a cent brebis et en perd une, ne laisse-t-il pas les quatre-vingt-dix-neuf autres dans le désert pour aller chercher celle qui est perdue, jusqu'à ce qu'il la retrouve ?
Quand il l'a retrouvée, tout joyeux, il la prend sur ses épaules, et, de retour chez lui, il réunit ses amis et ses voisins ; il leur dit : " Réjouissez-vous avec moi, car j'ai retrouvé ma brebis, celle qui était perdue ! "
Je vous le dis : C'est ainsi qu'il y aura de la joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se convertit, plus que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n'ont pas besoin de conversion.
Avec les animaux
Les brebis
10/08/2015
103 commentaires
jesus christ est tout puissant
Par Laini Mandama le 28 décembre 2020 à 19 h 57
Il y a tant de brebis galeuse qui ne veulent pas revenir
Par Lubin le 26 novembre 2018 à 7 h 38
La bible selon luc 15 ne declare Point que ces 99 brebis etais egaré meme la parole des fils nous demontre que qui est deja dans la maison de Dieu jouire deja des bonte de Dieu il est deja declare juste contrariament au brebis hors parturage c est la joie parce que elle a pas ete retrouve morte mais c est plutot rependu! Le libre de genese nous montre comment Dieu haï l orgueille. Adam lorsque Dieu le posa la question qu a t il fai il c est dont Justifie aulieu de se repentir ce la a cause ce que nous savons. Nous meme etant des Hommes lorsque ton fils/fille fait une betise et se repent n est t il vous pas en joie? Est il mieux que votre autres enfant qui vous respect
Par Fils de Dieu le 16 avril 2017 à 7 h 57
Seigneur, comment puis-je prendre soin de cet homme qui retourne en prison pour la xième fois et que je visite.
Saurais-tu me donner les épaules pour ramener cette brebis dans le droit chemin?
Je te le confie, toi seul es le vrai Berger.
Donne-lui la sagesse, la lumière et le courage d'affronter sa propre vie.
Seigneur je te confie mon impuissance et ma prière, ma vie est dans ta main.
Par Job le 11 septembre 2016 à 7 h 06
merci pour cet excellent commentaire qui me réconforte, j'étais moi-même une brebis perdu très perdu et il est venu me chercher, il m'a retrouvé, et maintenant je lui ai confié ma vie, je vie pour lui, il me guide me rassure , je lui appartiens
Par michel le 10 septembre 2016 à 21 h 58
la page est tres importante selement vous ne publier pas les contenu dela bibles.
Par jean koui sagno le 12 septembre 2015 à 10 h 04
que suis je vraiment ???
un pharisien ou une brebis plus ou moins galeuse ???
peut-être quelquefois l'un ou l'autre ???
mais je prie Dieu de me soutenir dans ma recherche de foi
MERCI Seigneur !
Par Cl@udio le 10 septembre 2015 à 9 h 33
Permettez-moi un "gros mot" ou façon de parler aujourd'hui: votre méditation: "J'ai adoré!" Elle pose des questions.
"Est-il si évident de laisser le troupeau pour rechercher la brebis égarée, au risque d'en perdre davantage?"
Que suis-je? "Brebis galeuse" ou " pharisien"? Entre les deux mon coeur balance. Seule, oui, perdue, pas tout à fait puisque je connais mon Berger et ne perds pas de vue le troupeau, même si parfois je m'en éloigne un peu à la recherche d'une herbe plus savoureuse. Juste.... non, mais si je crois à la miséricorde de Dieu, j'ai du mal à croire à celle de ses ministres et des humains en général, qui voient plus facilement la paille dans l'oeil du voisin que.... Pratiquante à ma manière, oui, donc certainement un peu de pharisaïsme. Mais Jésus n'a pas rejeté les pharisiens en bloc.
La deuxième question: Dans mon église locale, je me sens parfois... souvent... brebis galeuse au milieu d'un troupeau, soyons juste, de 95 pharisiens grisonnants, sans vie et sans joie. (Mais peut-être que je ne vois que 95 pailles... et sans doute qu'on pourrait me renvoyer le compliment)
Est-ce pour le troupeau que l'Eglise doit dépenser toute son énergie? Quel temps reste-t-il aux pasteurs et aux fidèles pour aller à la recherche des brebis perdues? Avec quels ministères? La pastorale du seuil et l'accompagnement individuel, ici, ne semblent pas être d'actualité, ni même de l'ordre du possible, sauf de rares exceptions....
Seigneur, c'est toi le seul Pasteur qui va chercher les brebis perdues et qui leur parle au coeur. C'est avec toi que les 99 autres se sentent en confiance. C'est toi notre joie sur la terre et la communion des saints joie dans le ciel.
Par elly le 18 août 2015 à 14 h 59
Cette parabole où Jésus nous parle de justes sans sous-entendus
me pose question si je pense à toutes celles et ceux qui ont voué leur vie au Seigneur en toute simplicité, sans demande de retour.
Elle apporte toutefois un réconfort aux pécheurs dont je fais partie.
Bruno.
Par couvreur le 14 août 2015 à 16 h 09
Merci frère pour votre méditation. Elle me donne le goût d'espérer. Le Seigneur ne nous abandonne pas. J'ai presque envie de dire que le Seigneur est bien gentil car c'est par sa grâce que naît cette disposition du coeur à la rencontre. Merci beaucoup.
Par Michel le 14 août 2015 à 3 h 21
J'apprécie énormément la phrase d ´Oscar Wilde. Il est bien vrai que quelqu'un qui a été déclaré Saint , est d'abord passé par des phases qui ne sont pas toujours en accord avec son statut de saint. Il a d'abord fallu affronter des épreuves, et peut-être même a t-il commis des fautes graves. Et s'il est saint, il ne doit plus déroger à sa "sainteté ".
Par contre, celui qui pêche a le temps de se racheter, pourvu qu'il fasse les bonnes rencontres, qui lui feront réaliser les points négatifs de sa vie. L'espoir fait vivre, n'est-ce pas ?
Par Tamsyn 34 le 13 août 2015 à 2 h 02
@ Danièle, si vous lisez ces lignes, en tant que maman de trois garçons, comme je vous comprends! Nous avons toujours peur qu'en aidant l'un, les autres se sentent lésés.
Mais c'est notre devoir de maman que de soutenir celui qui en a besoin, au moment des difficultés. Un jour ou l'autre, les autres enfants comprennent, même si c'est bien plus tard; ne vous faites pas de soucis, agissez pour faire le bien! Union de prière.
Par monette le 12 août 2015 à 18 h 14
Pour comprendre cette parabole, et en admettre la justesse, je regarde ma vie à son éclairage et, en effet,: je mobilise tout pour celui de mes enfants qui est dans les ténèbres , qui a tout perdu. Cet enfant, je ne l'aime pas davantage que les autres, mais aujourd'hui c'est lui qui a besoin de soutien, Puissent les autres le comprendre et participer en frères à ce sauvetage. Merci Mon Dieu tu m'as donné de vivre ce bonheur et d'en témoigner aujourd'hui.
Par Danièle le 12 août 2015 à 10 h 54
NOUS sommes tous des brebis galeuses et le mot est faible quelques fois, comment fait-il pour nous aimer autant ?
L'amour peut tout et l'AMOUR c'est notre DIEU, ALLELUIA !
Par Margot le 12 août 2015 à 10 h 17
NOUS sommes tous des brebis galeuses et le mot est faibles quelques fois, comment fait-il pour nous aimer autant ?
L'amour peut tout et l'AMOUR c'est notre DIEU, ALLELUIA !
Par Margot le 12 août 2015 à 10 h 11
merci je suis contente que Dieu m'aime ......merci
Par Marie ThérèseYahyoui le 12 août 2015 à 2 h 17
Je n'aime pas ce terme de galeuse. Le Seigneur n'a pas de mépris pour ses brebis. Quoiqu'elles aient pu faire, il ne les juge pas sévèrement, il attend patiemment qu'elles reviennent à Lui. Et si elles traînent la patte, il va à leur devant. Si la vie les a blessées, Il va leur parler coeur à coeur, avec douceur, avec amour; il va pansé leurs plaies. Celle qui est tombée dans un profond gouffre, qui est tombée si bas, il va risquer sa vie pour aller la chercher. En laisser quatre vingt dix neuf pour aller chercher celle qui est perdue; une seule compterai plus que toutes les autres qui ont été de bonnes filles, de bons fils, alors que cette petite dévergondée, lui a brisé le coeur ? bien sûr que non; elles, elles se soutiennent mutuellement. Mais celle qui est seule, qui sait ce qui peut encore lui arriver. Le Seigneur n'a de repos que lorsque celle qui s'est éloignée de la bergerie et qui, repentie, vient se jeter à ses pieds en pleurant de honte et de repentir en lui disant : Père, j'ai péché contre toi, je ne suis plus digne d'être appelé ton enfant. Alors, il la relève la prend dans ses bras et pleure de joie avec elle. Il est comme ça notre bon Berger.
Ô Père je suis ton enfant, j'ai mille preuves que tu m'aimes, je veux te louer par mon chant, le chant de joie de mon baptême;
Par Marjeanne le 11 août 2015 à 21 h 24
Le problème c'est de voir tout le troupeau en train de se perdre
Par Père Jean le 11 août 2015 à 21 h 17
Entre la brebis galeuse (St Luc) et la parole de ce jour (St Mathieu) le Seigneur nous confirme sa TENDRESSE, son AMOUR, pour chacun de nous, nous les petits.
(Ainsi, votre Père qui est aux cieux ne veut pas qu'un seul de ces petits soit perdu.").
Bonne soirée à vous tous.
Par Françoise D. le 11 août 2015 à 18 h 15
j'ai bien lu & relu la méditation du frère Jean Pierre & j'ai compris le témoignage de Saint Luc autrement :
Les 99 brebis ne sont pas tous des pharisiens .
Ils ne sont pas tous des faux -justes .
Ils suivaient tous le Christ comme nous tous ( Troupeau de Chrétiens de toutes les rites les appellations ) ( Chacun de nous croit que c'est lui seul qui a raison & c'est lui seul qui est juste & savant ......chacun de nous accuse l'autre qu'il n'a pas choisi le bonne place .
Je ne sais pas quelle sorte brebis je suis considérée .
Si je fais parti des 99 brebis , je resterai dans ce troupeau à côté de mes frères & sœurs les 99 à attendre le retour du Christ pour qu'il nous ramène notre sœur qui a été égarée .
& s'il se trouve que i je suis cette brebis égarée .......
QUELLE BONHEUR & QUELLE JOIE DE ME TROUVER EN TRAIN DE VOUS REVENIR SUR SON EPAULE .
AVEC LE CHRIST NOUS NE SERONS QU'UN TROUPEAU DE 100 .
Par Najoi le 11 août 2015 à 15 h 57
Oui, Dieu nous sauve, alléluia!!
La joie, joie de croire, joie d'être en phase avec "soi-même", ou plutôt être en vérité, vivre en plénitude, avec sérénité, cela ne se voit pas; je le vis intérieurement; cela peut se ressentir sûrement dans mon entourage.
Par contre, c'est lorsque je suis dans la peine, que je me force à communiquer, à rire ou sourire, moi qui suis introvertie.
Chacun sa manière d'exprimer ses sentiments, certains extériorisent plus que d'autres, mais ce n'est pas pour autant que je ne suis pas une personne souriante, gaie, aimant plaisanter et rire. Belle journée à tous:)
Par monette le 11 août 2015 à 15 h 17
Qu'est-ce que la joie et comment s'exprime-t-elle?
Pour moi, la joie est surtout intérieure et c'est moi seule qui peut dire si je suis dans la joie ou non.
Par contre, la gaieté, quant à elle, est extérieure. elle peut être vraie, mais aussi une façade pour cacher ma peine et mon désarroi. Est-ce que chaque médaille n'a pas deux côtés?
Pour moi l'important être vrai avec soi-même et de ne pas interpréter ce que je reçcois au risque de me tromper parfois.
Par Micheline (Canada) le 11 août 2015 à 14 h 31
"Le pêcheur est celui qui est perdu, dans son désert, il erre en quête de ne plus être seul"
Merci frère pour ce regard bienveillant sur nous mêmes et sur nos prochains
Par Riti le 11 août 2015 à 14 h 08
Extrait de l'échelle de Jacob de Gustave Thibon
Différence entre la brebis galeuse et la brebis égarée.
Une brebis égarée est intrinsèquement aussi saine qu'une brebis du troupeau.
Le pécheur fait fausse route, mais ses membres restent sains, il lui suffit de changer de direction pour être guéri .
Une brebis égarée n'est pas une brebis galeuse.
Il faut rechercher la brebis égarée, pardonner à l'enfant prodigue....mais il faut aussi savoir s'amputer d'un membre pourri: si ton oeil te scandalise......
Il y a deux catégories de pêcheurs: ceux qui restent distincts de leur péché (Zachée, la femme adultère, la Samaritaine) et qui peuvent être sauvés et ceux dont le péché a dévoré l'âme, qui ne font qu'un avec leur péché (les Pharisiens) et qui sont déjà condamnés.
Par Bernard le 11 août 2015 à 9 h 40
la vie m'amène a rencontrer des hommes et femmes différents.
Leurs avis conversations divergent les uns par rapport aux autres: leur foi, croyances envie, ambition, recherche de biens morales ou matériel etc... Leur état d'esprit leur combativité, morale, associative, politique leurs fragilités que sais encore...
J'essaie de voir ce qu'il y a d'amour en chacun par la prière, un regard ;Personne n'est jamais blanc ou rouge
Par Christian le 11 août 2015 à 9 h 26
Cher frère Jean-Pierre, je vous dois des excuses. Je me suis immédiatement laissé emporter dans une envolée à propos des 99 brebis que le Fils laisse à elles-mêmes, sans vraiment lire tout le texte de Luc (repris par Matthieu, aujourd’hui). Je vous ai argumenté une jolie digression sur les qualités du peuple de Dieu… bien loin du propos du Christ lui-même, qui parle de tous ceux qui pensent qu’ils n’ont plus besoin de Lui. Je me demande si je ne me sentais pas, hier, comme le frère du fils prodigue… Il est vrai que j’ai eu l’impression d’avoir fait beaucoup d’efforts – surtout avec ma tête – ces derniers temps. Mais heureusement, le Père l’invite à la fête, lui aussi, le frère consciencieux et fâché. Je crois que je vais essayer d’abandonner mes certitudes, et me laisser tenter par la joie du Père. Je prendrais bien une joyeuse boisson fraîche, à une jolie terrasse, pour fêter avec tous le retour de la brebis retrouvée. Bonne journée à tous !
Par Paul (Belgique) le 11 août 2015 à 8 h 59
" Le pécheur est isolé par les regards qui le jugent tel, et aussi par son propre regard qui le désespère."
Où est ma joie? Elle est dans le secret de mon cœur, et si tu ne la vois pas, si tu ne l'entends pas, c'est peut-être que tu es aveugle et sourd... Mais il est peut-être temps pour toi de parler, et pour moi de me taire, à toi les rires et à moi les pleurs... Heureux celui qui nous rejoint où qu'on soit avec nos têtes de clowns, d'enterrement ou de mort.
Par & le 11 août 2015 à 8 h 43
BRAVO ! Biniou, oui nous sommes SAUVES et nous avons une tête d'enterrement, il nous faut le CROIRE et avoir cette JOIE . Dieu nous connaît et Dieu nous AIMES, ils nous faut juste CROIRE cette VERITE. Belle journée.
Par Sylvie le 11 août 2015 à 6 h 25
De longs commentaires qui louent la patience de Dieu et l'engagement de Jésus au service du troupeau...Je suis émerveillée de la Foi que vous témoignez amis internautes, mais pourquoi cette tristesse, ce manque d'enthousiasme, NOUS SOMMES SAUVES, à nous de le croire, de le vivre !!! O'u est votre joie ?
Bien sûr, nous aimons de temps en temps brouter qq brins d'herbe hors du chemin, mais DIEU NOUS AIME !
Par biniou le 11 août 2015 à 0 h 17
merci à frère Jean-Pierre pour ses traits clairs et stimulants!
la brebis galeuse est aussi la risque-tout qui fraie avec les périphéries, sans crainte de perdre le confort douillet du troupeau bien-pensant : imitons-là, surs que Jésus ne nous perdra pas de vue!!
Par HARRIVELLE le 10 août 2015 à 22 h 42
On a bien aimé les imitations du jeune Marc Antoine! Il a de l'avenir! On t'envoie ce que j'ai reçu aujourd'hui comme parole et méditation! Tiens bien le cap ! Bisous
Par pesnel le 10 août 2015 à 22 h 13
Votre commentaire NAJOI me remet en mémoire cette histoire très brève tirée d'un recueil de contes persans ."Un homme s'adressait au Ciel en l'implorant : O Bien-Aimé, par pitié, ouvre-moi Ta porte ; Pauvre aveugle, lui dit Rabiah, Dieu te l'a-t-il jamais fermée ?"
La brebis égarée rejoindra certainement le troupeau, sa famille, et le berger sera à nouveau disponible pour aller à la recherche de celle qui se sera encore perdue. C'est son rôle : veiller sur son troupeau et ramener si possible celle qui s'est trop éloignée.
Par mahona le 10 août 2015 à 21 h 12
Esprit Saint ,Souffle de vie et force de Dieu ,
Toi ,qui fais éclore ce qui germe ;
Fais mûrir ce qui est tombé en terre ,
Fais revivre ce qui meurt ,
Ouvre-nous à des chemins nouveaux ,
Sois au milieu de nous l'Esprit du Père ,
Eveille en nous la fraîcheur et la joie des commencements ;ne laisse pas la tristesse nous envahir ;
suscite en nos cœurs une disponibilité active
Qui autorise tous les possibles à naître .
Sois au milieu de nous l'Esprit du Fils ,
Recrée nos libertés quand elles se défont .
Maintiens l'Espérance au cœur même de nos désillusions ,
Donne-nous une foi qui ne désespère de personne,
Relance-nous sans cesse sur les routes à la recherche du Royaume.
Sois au milieu de nous l'Esprit qui enveloppa Marie
Et qui interpella nos fondateurs et fondatrices .
Toi qui nous appelles à prendre Marie chez nous ,
Accompagne-nous dans notre oui ,à l'avenir de Dieu
Pour être fidèles à notre charisme d'éducateur(ices) à la vie et à la foi.
Par & le 10 août 2015 à 21 h 01
La brebis galeuse :
seigneur, je crois que tu es le chemin vers le salut,vers le bonheur que mon coeur désire
Augmente ma foi,remplis mon coeur de ton amour,
Viens me sauver seigneur quand je suis perdu,
Merci d'être ce bon pasteur qui me guide au milieu des dangers,des tentations qui nous guettent,
Toi seul peux nous mener dans le royaume des cieux, toi seul tu es le bon pasteur, merci mon bon berger,
Par brig le 10 août 2015 à 20 h 56
Tout comme Mireille je trouve que Jean-Pierre Malo est un excellent lecteur à la voix chaleureuse et je le remercie ainsi que toute l'équipe y compris les internautes qui m'aident à découvrir la bible.
Quel bonheur de vous retrouver et de se sentir entourés!
Par Liliane le 10 août 2015 à 20 h 07
Le Christ n'oblige personne à suivre son chemin , ni son commandement Le Christ °INVITE , & celui qui désire par toute sa liberté & avec tout son consentement & son choix le suivre , sa porte est grande ouverte , sa maison accueille tout le monde ( le riche & le pauvre )( l'heureux & le malheureux ) (le bon & le méchant ) (le parfait & le moins parfait ) ( le beau & le laid ) ( Jésus ne refuse personne même s'il est mis à l'écart par certains prêtres de l'église ......... Le Christ nous classe selon nos intentions & la grandeur de notre cœur & non pas selon le jugement des autres & leurs bonnes ou mauvaises notes sur nos apparences & notre comportement
.
L'Evangile de ST Luc nous confirme que Jésus n'oublie personne ,en utilisant l'image de la brebis perdue & égarée..
Dans les moments difficiles , quand on ne sait plus où aller ???quoi faire ? comment de débrouiller ? quand on a besoin d'un conseil , d'un soutien , d'une lueur d',espoir , d'une consolation , d'une épaule ...... ALLONS VERS LUI ...... AVEC TOUT NOTRE COEUR ,OUVRONS NOS DEUX MAINS , RECEVONS SON CORPS & SON SANG ..... COMUNIONS AVEC LUI .....& REVENONS AVEC LUI , VERS CETTE NOUVELLE VIE ,POUR FÊTER NOTRE JOIE ..
Par NAJOI le 10 août 2015 à 19 h 28
Notre liberté exige des renoncements et conversions du coeur En contrepartie quel bonheur de se sentir aimé . Cela donne des ailes .
Par DE FRUTOS SAINTEMAIE le 10 août 2015 à 19 h 21
Ezéchiel/34:16 Brebis perdue ..
Je chercherai celle qui est perdue ,je ramènerai celle qui est égarée ,je penserai celle qui est blessée ,et je fortifierai celle qui est malade...On pense aux enfants prodigues ,tous un jour nous avons eu besoin d'une main secourable , d'un encouragement ,d'une présence ,ainsi tout ce que vous aurez fait ,pour ces petits ;c'est à moi que vous l'aurez fait ;un Père attends toujours le retour de son enfant ;n'est- ce pas ?
Galleuse ,boiteuse ,voyant des loups partout ,qu'importe ,rien n'est impossible à celui qui croit ,en actes et en vérité ,le fils de l 'homme est venu pour une remise en question , ainsi Jésus ,nous interpelle à se remettre en question ,et à le suivre ..Combien de gens à NOËL sont sans cadeaux ,nourriture ,jouets pour enfants ,pire sans abris ,combien de personne âgées seuls ,combien d'orphelinats(homes ) avec des enfants manquant d'habits ,d'accueil (Don Bosco) d'affection, de famille dans le froid à cause de la pauvreté(saint Vincent de Paul) ,quand on y rajoute la peste ,la galle ,c'est en fait pour fuir ce que l'on ne voudrais pas subir ,un pauvre crie et personne ne l'entends ,les prisons ne sont pas faite que de barre de fer ,il y a des innocents ,des coupables ,mais aussi cette miséricorde ,les malades ..et j'en passe ,le bon samaritain nous enseigne ,la valeur du respect de la vie ;la compassion, l'altruisme , bref la misère fait peur sous tout ces angles ,la galle ,la peste fuit au galop ,pour faire place à une seule vérité ,chaque pécheur à ainsi droit à un futur ,celui de vivre dans l'amour ,la dignité ,le partage ,la solidarité , car ce que l'on porte c'est la croix , et sur cette croix...l'amour qui se donne sans conditions ....Gratuitement .Revenez de tout votre cœur au Seigneur ,et faite pour les autres ce que vous voudriez ,que l'on fasse pour vous ..choisir la galle ou ouvrir les bras .
Par Fred le 10 août 2015 à 19 h 14
Merci frère Jean-Pierre.
Chaque jour est un recommencement, du moins pour moi.
Rien n'est jamais acquis définitivement, tant dans une vie de couple, au travail ou encore ma vie spirituelle, qui est, elle aussi la vie de chaque jour.
Il y a toujours de quoi se poser de multiple questions, comme "suis-je sur le bon chemin"? Ai-je fait le bon choix?
Mais le Seigneur veille, toujours, même si je m'éloigne souvent!
Par monette le 10 août 2015 à 19 h 08
Brebis égarée ;ok. mais pourquoi brebis galeuse ?
Par dupont le 10 août 2015 à 18 h 11
A la lecture de cette parabole : la brebis perdue, la brebis Galeuse et toutes les autres, bien au chaud dans la bergerie ......... Jésus, veux nous rappeler ce qu’il ne cesse de nous enseigner « aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés ». Des brebis perdues, égarées ou chassées sont légion sous nos yeux chaque fois que nous voulons bien regarder, lorsque nous allons remplir nos paniers. Ils sont là, nos frères, honteux d’être là et de tendre la main, ils ont faim d’un sourire, d’un regard, d’une parole : ce sont ces « petits » ceux que Jésus aime particulièrement. Il existe beaucoup d’organisations qui font de leur mieux pour les aider à se relever ; serions-nous capables de nous engager avec eux pour que nos frères retrouvent leur dignité d’homme ? Ces associations ont besoins de bénévoles, de dons, elles ont besoin de nous Allons-y
Seigneur gonfle nos cœurs de ton Amour, aide-nous à chasser notre égoïsme, notre individualisme, la peur de manquer pour nous-même, Donne à tous le désir irrésistible de PARTAGER. Si un jour nous invitons l’un de ces petits à notre table, certainement, tu seras là avec nous !
Par Marie-Madeleine le 10 août 2015 à 17 h 55
Saint Roch.
Ou est ma croix ,où est mon droit ...Saint Roch
Vois ma vigne ,émonde - la au nom du Christ ,chasse la peste de nos demeures ,de nos églises .
Saint Roch ,des plaies purulentes ,de la vanité ,de la luxure ,de la corruption, de la rouille .
Où est ma mère !
Gémissant sous le poids de nos péchés.
Qui d'un cœur pur ,mieux qu'Elle peut servir à la table de l'autel ...Au nom du Père et du Fils et de L'Esprit Saint ...Saint Roch ,ranime la foi de Ces brebis ; purifie -nous de toutes ces infections ,au creuset du Seigneur .
Par le sacré cœur de Jésus ,gloire et louange à Dieu .
Au nom du Père ,du Fils et de ...L'Esprit Saint .
C'est juste une ...Inspiration ,née devant la statue du Sacré cœur de Jésus ...et de celle de Saint Roch ...Merci encore frère Jean Pierre .
Par Tona . le 10 août 2015 à 17 h 22
À propos de la controverse sur le mariage selon Jésus et de la position de l'Eglise par rapport au "divorce-remariage"
Je suis allée lire les passages des évangiles mentionnés par Soazig Nedelec, et ce que je lis c'est que Jésus déclare "adultère" les personnes qui renvoient leur conjoint pour en épouser un autre. Et que fait et dit Jésus face à la femme adultère? "Que celui qui n'a jamais péché lui jette la première pierre", et ça n'a pas pris longtemps pour que tout le monde dégage! "Moi non plus je ne te condamne pas. Va et ne pèche plus." Mais elle a quand même péché au moins une fois! Alors pourquoi dans l'Eglise d'aujourd'hui n'a-t-on pas le droit de se tromper au moins une fois sans avoir besoin de prouver son innocence?
D'accord une fois unis par Dieu les époux ne font plus qu'un. On ne peut pas les désunir. Mais en quoi cela empêche-t-il de s'unir à quelqu'un d'autre? (Aie! Ça ressemble à de la polygamie sans en être...)... Mais depuis Moïse et les tables de la Loi, l'homme ne passe-t-il pas son temps à adapter la Loi dans un sens ou dans un autre? N'est-ce pas un peu ce que dit Jésus à propos de l'acte de répudiation? Et en cherchant bien, on peut même lui faire dire qu'il est pour "l'amour libre" sans mariage...
D'autre part, Jésus ne dit-il pas qu'il faut pardonner 70 fois 7 fois? Cher(e)s divorcé(e)remarié(e)s, et tous ceux qui souffrent ou sont en butte dans/avec l'Eglise, à cause de ses lois, de ses membres, de ses actes, de ses paroles,... il semblerait que ce soit notre lot à tous, notre croix, qu'on en fasse partie ou pas de cette Eglise, qu'on y demeure ou qu'on en parte pour pouvoir supporter ce poids, et avancer dans la vie, avancer au large...
Par Potiron le 10 août 2015 à 17 h 14
Que c'est beau et bien dit, tout ça!
Merci!!!!
Par cecili le 10 août 2015 à 16 h 51
c est un petit moment de réconfort ,je sais la miséricorde de DIEU très grande mais le passé est difficile à accepter ,et il faut ^¨etre complétement purifié pour entrer dans le royaume de DIEU ;ce qui est mon souhait .....
Par richard le 10 août 2015 à 16 h 46
j oscille entre le troupeau et la brebis égarée!mais je constate une chose c'est que dans un cas comme dans l'autre j'ai besoin du Pére soit pour rester dans ses bras soit pour y revenir et que chaque fois je peux mesurer son infinie tendresse
Par elisabeth le 10 août 2015 à 16 h 26
Bon après-midi à tous et un grand merci pour la méditation et les commentaires. Je partage ce que dit d'Audrey et rend grâce pour les témoignages(Marie, Fred,..). Revenant d'abord à Vendredi, je me rappelle d'une homélie se rapportant à cette attitude des propriétaires de porcs(source de biens matériels pour eux) et qui les perdent sans qu'ils le veuillent mais dans un contexte où Jésus libère un démoniaque. Le prêtre nous a demandé" N'y a-t-il pas nous aussi dans nos vie, des" points ou choses, situations " où nous avons chassé Jésus ? où nous le chassons pour ainsi dire afin de faire nous mêmes sans lui? Cela m'est revenu en lisant le commentaire renforçant mon examen de conscience avant d'aller recevoir le sacrement de réconciliation. la méditation sur la brebis perdue me rappelle d'autres "damons " qui m'habitent. et je crie à Jésus sauve-moi aujourd'hui, je suis une brebis perdue et le chemin risque d'être long. Merci pour ce pain "signe dans la bible" et en union de prière avec chacun(une) de vous
Par Béatrice le 10 août 2015 à 16 h 05
merci pour ce texte de l'évangile de Saint Luc Je voudrais encourager ceux ou celles qui se trouvent dans la position de "la brebis perdue" Je l'ai été moi même durant 25 ans ,j'étais anxieuse ,déprimée ,triste à cause des déboires dans ma vie et j'ai même pensé au pire !! Hospitalisée pour une pathologie héréditaire ,je n'en pouvais plus J'ai crié à Dieu dans les sens propre du terme !!! et Il m'a entendue .....je ne vous raconterais pas en détails ce qui m'est arrivée mais cet appel m'a valu des grâces que je n'attendais plus ,convertie sur un lieu de pèlerinage en 1995 je me sens vraiment la fille du Père ,l'épouse de Jésus et reconnaissante à l'Esprit Saint Je ne croyais pas avant que tant de bonheur était possible quand on reconnaît Jésus comme Sauveur et qu'on lui dit "oui" sans condition
Par Anne Marie le 10 août 2015 à 16 h 05
Il y a des lois dans la société civile également. Ne pas s'y soumettre peut sans aucune miséricorde (ce terme est applicable à Dieu, rarement aux hommes...encore moins à la justice des hommes) Dans l'Eglise aussi il y a des lois, pleines de miséricorde elles, cherchant toujours le plus grand bien des fidèles. Le " re-mariage " est en effet interdit par l'Eglise, Jésus lui-même a pris position sur le sujet (Mt19, 3-9; Mc10, 2-12 et Lc16, 18), le Magistère est donc fondé sur la Parole même du Christ. Cependant, l'Eglise est une bonne mère, en mesure de discernée les erreurs humaines, le droit canonique est donc fait pour cela. Il y a des mariages qui sont non valides, le tribunal ecclésiastique le déclarera " il n'y a pas eu sacrement " le mariage religieux n'a donc jamais existé . Il appartient à ces personnes de s'adresser au diocèse pour être entendues et orientées. Le procès est très sérieux, il durera le temps nécessaire, s'il est reconnu invalide, le sacrement sera déclaré nul, n'ayant jamais existé. Le coût est peu élevé, peut-être certains relève de cette procédure. Bien amicalement à vous, je comprends votre douleur, il y'a peut-être un remède légale.
Par Soazig NEDELEC le 10 août 2015 à 15 h 57
Il y a quand même quelque chose qui me chagrine dans cette parabole et la méditation.
Ok, le berger est content il a retrouvé sa brebis et il fait la fête avec ses voisins et amis. Mais la brebis elle, elle est où? À nouveau avec les 99 autres laissées dans le désert? Où sont les près d'herbe fraîche où reposer?
Bon d'accord il faut se convertir et croire à la Bonne Nouvelle, mais finalement c'est quoi cette Bonne Nouvelle? Un homme qui aime chacune des "têtes" de son " troupeau" , qui vit, qui meurt, et qui ressuscite? Et il emploierait l'ironie avec certaines de ses brebis perdues? L'ironie: ne serait-ce pas le loup dans la bergerie?
Par & le 10 août 2015 à 15 h 52
Dieu se réjouit chaque fois que je reviens vers Lui. N'allons pas croire qu"il s'agit seulement d'une conversion spectaculaire. Car, étant tous pécheurs, nous faisons partie des 99 ! Merci Seigneur
de ta patience et de tant d'amour pour le pécheur que je suis ... depuis "le ventre de ma mère"!
Par Hazoume le 10 août 2015 à 15 h 49
Quelle joie de savoir qu'il y a de l'avenir au pécheur !Notre besoi de Dieu, notre besoin de l'autre verra sa réponse. Merci pour ce regard plein de Vie
Par Cécile breton le 10 août 2015 à 15 h 44
DIEU EST AMOUR.
Par Marie-Hélène le 10 août 2015 à 15 h 11
Le berger n'aime pas davantage la brebis retrouvée que chacune des 99 autres. Simplement il manifeste sa joie de la retrouvaille. Ce serait la même chose si c'était moi ou vous la brebis perdue (qui n'est pas plus galeuse que les autres mais seulement plus inattentive). Demandons à Dieu de rester attentif à ses commandements d'amour.
Par Marie DELORME le 10 août 2015 à 15 h 10
Le mot "juste" n'est pas mentionné dans la parabole. Le Seigneur agit comme la mère qui consacre la plus grande partie de ses soins à l'enfant malade car c'est lui qui en a le plus besoin.
Par Kyberd Guillemette le 10 août 2015 à 14 h 36
Luc 15,3 "Alors il LEUR dit cette parabole:"Lequel d'entre vous......" C'est bien aux pharisiens que Jésus parle et invente POUR EUX cette histoire . Je remarque que cette parabole se termine par une fête. Comment faire entrer ces scribes et pharisiens dans la Joie du Royaume? Comment faire bouger le carcan qui endurcit tellement leur coeur? Ils sont toujours dans la critique et la dénonciation (15,2:"Et les pharisiens et les scribes murmuraient " on sait ce que cela veut dire quand on marmonne à voix basse..........!) Alors oui, bien sûr le berger a raison de partir à la rencontre de cette brebis (galeuse pour les pharisiens!) mais pas perdue pour Dieu, car elle erre , elle est en recherche, elle n'est pas arc- boutée sur des vérités à hauteur de petit homme.Pour l'instant, elle est la seule qui se LAISSE HISSER sur les épaules du berger, elle a trouvé sa solidité. Mais je suis persuadée que chacune des 99 autres brebis est aimée et attendue infiniment par ce Berger.
C e Berger là nous délivre de nos endurcissements et nous sommes chacun tantôt un "faux-juste" tantôt une brebis perdue ET retrouvée. La joie éclate dans le ciel à chaque conversion, c'est à dire à chaque fois que tout un chacun accepte d'entrer en relation avec L'AUTRE.
J'aime particulièrement la façon de le dire de Frère Jean-Pierre "aucune brèche ne peut faire seuil pour la rencontre avec un autre, fut-il Dieu". Oui, Jésus pointe qu'il ne peut rien sans la collaboration active de chacune des 99 autres, elles sont dans l'auto-satisfaction et "n'ont pas besoin de conversion", elles ne savent pas qu'elles ont besoin de s'ouvrir à la Bonne Nouvelle : Je constate aussi que Jésus ne juge pas, n'exclut pas. Sa parabole est toujours d'actualité .Nos réactions de réprobation,nos critiques, nos murmures..... sont épidermiques et nous collent à la peau! Personnellement, j'ai toujours besoin d'être décentrée de moi-même et cette parabole avec le rapport de 1 à 99 ouvre un beau champ de méditation et d'interprétations, elle invite aussi à passer aux choses pratiques comme notamment à "changer de regard" sur soi-même ainsi que sur les autres ou à être le berger de ceux qui sont seuls, etc...merci à J-P. pour ces pistes de "réajustement!"
Par Béatrice le 10 août 2015 à 14 h 26
Merci frère Jean-Pierre pour la pluie bienfaisante de votre méditation sur le désert de mon incompréhension à propos de ce texte, de mon propre cheminement et de celui de certaines personnes autour de moi. C'est peut-être un peu sévère pour les "bonnes" brebis : les certitudes sans nuances et l'obéissance passive à l'ordre établi sont tellement confortables et rassurantes que l'on ne peut leur reprocher de s'y réfugier surtout aujourd'hui où la violence est mise en vedette partout. Pour ma part, malgré quelques efforts, je crains de rester toute ma vie terrestre dans l'inconfortable questionnement. Toutefois, comme je vous l'ai dit plus haut, votre texte est une véritable source de fraîcheur et de paix. Merci. Evelyne
Par Evelyne Deffes Labat le 10 août 2015 à 14 h 26
C`est vraiment la méditation j`ai en besoin ce matin. Je me sens si perdue, si seule. Merci.
Par Ewa le 10 août 2015 à 13 h 59
Pour ma part c'est le contraire je trouve que la voix de Monsieur J-Pierre Malo est chaude et profonde, je suis toujours contente quand c'est lui qui fait le récit de l'évangile. Je ne comprends pas les gens qui se plaignent ici. Ce site est une véritable bénédiction dans ma vie, j'applaudis toute l'équipe pour l'excellent travail de professionnels que vous faites et que vous nous nous offrez sans relâche. " Tu es mon Berger ô Seigneur." L' autre Mireille.
Par Mireille le 10 août 2015 à 13 h 53
Merci Seigneur pour ce texte, c'est tout à fait moi. Seule, jugée, je ne sais pas trop qu'elle direction prendre. J'ai besoin de toi, de ton esprit, de ta lumière. La seule chose dont je sois certaine, c'est qu'il faut que je regarde dans ta direction, en toute confiance. Protège moi de moi même . Pardonne moi d'être aussi faible. ..belle journée à tous.
Par derae le 10 août 2015 à 13 h 49
Donne-moi Jésus ton regard attentif afin que par mes yeux « le frère perdu « voit ta bonté et ta miséricorde. Amen!
Par Denise Brouillette le 10 août 2015 à 13 h 26
Quelle est la voix du bonheur dans un couple ou l'un est le juste et l'autre le perdu?
Par Anne le 10 août 2015 à 13 h 18
Merci Seigneur pour cette réponse que tu m'envoies par ton
serviteur.....Je me sens si seule, si perdue....Je ne fais pas partie de ceux que tu appelles "juste".... je erre en quête d'un peu de repos et d'eau!...Tu ne délaisses pas la brebis perdue.....
Par Hug le 10 août 2015 à 12 h 46
Vifs remerciements à tous...
Par marie michelle le 10 août 2015 à 12 h 42
Merci à Capri pour son commentaire, il est plein de vérité et écrit avec beaucoup d'humour et d'amour.
Merci à Frère Jean-Pierre pour sa méditation.
Par Françoise D. le 10 août 2015 à 12 h 36
J'essaye d'y voir clair: pas simple entre les brebis perdues, galeuses et autres, les moutons, les chèvres, hier les vaches, ceux qui trottent ou galopent...
J'en conclus finalement que quoi que je fasse, que je me lève ou me repose, où que je sois, quel que soit mon état (physique, morale, mental, psychique, psychologique, spirituel), pauvre ou riche, heureux ou malheureux, bon ou méchant, il n'y a qu'une chose à faire : attendre le retour du maître pour faire la fête.
Oui, mais si je n'étais pas la brebis sur ses épaules et que je n'arrivais pas à faire la fête avec les autres à son retour? Alors il repartirait pour me chercher, moi.
Mais peut-être que je suis un faux juste? Alors? Il finira bien par me trouver, moi aussi! D'abord parce que quand on me cherche on me trouve!
Il m'a peut-être déjà trouvé et je ne l'ai pas reconnu? Et il serait parti sans me mettre sur ces épaules en abandonnant sa brebis? Ça ne tient pas, c'est pas son genre! Ou alors c'est que cette brebis là n'était pas perdue. Oui, mais si c'est moi qui me suis enfui? Alors il est reparti à ma recherche, sinon c'est que ce n'était pas le bon berger, au mieux un panneau indicateur, au pire une mauvaise rencontre, entre les deux un compagnon de route pour un bout de chemin...
Peut-être que je suis sur ces épaules mais ce n'est pas forcément la position que j'affectionne le plus. Il me ramènerait de force au bercail? Pas son style non plus! Je ne m'en aperçois peut-être pas vraiment mais croire qu'il me porte sur ses épaules, c'est sûrement ce qu'il y a de mieux pour moi en ce moment.
Mais en attendant le jour de fête et de Gloire, il faut bien s'occuper, vivre ou survivre, et même mourir. Ainsi va la Vie!
Par Capri le 10 août 2015 à 12 h 26
Avec Brigitte et autres internautes : pourquoi mal accueillir des Parents qui demandent le Baptême pour leur enfant ' qui a plus de 2 ans ' parce qu'ils sont divorcés et vivent en couple ?
Pour nous grands-Parents déjà meurtris par la situation , nous ne retrouvons pas l'attitude de l'église annoncée par François ...scandale aussi chez les autres membres de nos familles ,incompréhension de la part des Parents ...qui sont près à claquer la porte ...Aucune parole pour essayer de comprendre la situation !! Oui , l'Esprit de Dieu peut agir en leur coeur , nous prions chaque soir pour eux ... mais il y a du mal qui se crèe autour de cette incompréhension !
Ps:il faut attendre que l'enfatnt ait reçu une catéchèse du baptême
a situation
Par Pierre-Marie le 10 août 2015 à 12 h 07
Marie, oui quand JeanPierre Malo est dans la méditation il est difficilement compréhensible mais je suis malentendante, peut être l'êtes vous aussi.
Par GUILLET le 10 août 2015 à 11 h 25
Pardonnez moi d'intervenir dans ce sens, mais Monsieur Malo est très désagréable à écouter, il n'articule pas, et ne respecte pas la ponctuation. Dommage, les textes sont très beaux....
Par mireille le 10 août 2015 à 11 h 22
Brigitte, j'entends très fort ce que vous dites car j'ai eu aussi mon passage de refus d'entendre la PAROLE. Des amis ont "beaucoup" prier pour moi, alors maintenant pour rester "éveillée" je me dis que l'homme est ce qu'il est, que "l'église" est "dirigée" par des hommes avec toutes leurs faiblesses et leurs défauts; je m'appuie donc sur les Paroles que Jésus nous a dites mais surtout sur les paraboles qui elles sont en contact avec la réalité.
Par GUILLET le 10 août 2015 à 11 h 18
merci pour ce commentaire. Aujourd'hui, je me sens bien la brebis galeuse, je suis perdue ! Dieu seul me sauvera car, il sait ce qui est bon pour sa brebis : son amour, sa tendresse et sa compassion, sa bienveillance. Ainsi soit il
Par Isabelle le 10 août 2015 à 11 h 13
Ce que Jésus veut nous dire, n'est-ce pas que Dieu, amour parfait, ne peut pas laisser un seul homme se perdre.
Par Paul Van Doren le 10 août 2015 à 11 h 03
Merci pour la phrase d'Oscar Wilde qui répond à mon grand souci quasi obsédant du salut de tous. Me voilà rassurée et encouragée à prier sans cesse pour le salut de tous.
Par Carre Marie-Françoise le 10 août 2015 à 10 h 30
Cela commence à me peser de lire dans les évangiles toutes les paroles de miséricorde, de lire les réflexions spirituelles de religieux alors que l'Eglise refuse toujours l'accès aux sacrements des divorcés remariés. L'envie me gagne de ne plus tenir compte du tout de ce qui se dit officiellement, trop de dichotomie et de discours intellectuel.
Par Brigitte le 10 août 2015 à 10 h 19
Pour Marie 6h37
Marie ,il y a un seul berger (psaume 23)
Le rejet est déjà en soi ,un signe d'ignorance ,de nos jours des gens prennent le titre de berger (parle pas de nos prêtres ) et ces gens sont eux -même un signe ..Il n'y a que Dieu qui consacre , comprenez bien que dans le rejet Dieu se fait abris ,et que les imperfections sont aussi un moyen pour d'autres d'atteindre dans les erreurs ,la perfection .Les groupes de prière sont multiples c'est bien ,mais celle du bon Pasteur ,restera nous le savons ;fidèle à la Parole de Dieu .La vigilance c'est qu'en connaissant la Parole ,on peut parfois devant des faux ou fausse Berger(eres) ,Prier pour ceux-ci ,tout simplement ,le chagrin,le rejet ,le sens de culpabilité sont des portes ouvertes vers des amertumes ,je vous conseille d'aller au galop ,vers La Sainte Vierge ,qui Elle serre l'enfant Jésus dans ces Bras , et le baume d'un sacrement par une main consacrée inconnue de vous ,mais au travers de celui-ci dans l'onction des malades ,le baume spirituel de L'amour de DIEU qui restaure toutes les meurtrissures ,puis il y le miracle du vrai pardon ,celui qui ne lie pas les autres ,ni soi-même et qui rends libre d'aller au trot ,au galop ,vers des prés d'herbe fraîches .......Nous sommes nés pour bénir et offrir le bonheur des senteurs du soleil...levant .
Par FRED le 10 août 2015 à 10 h 12
Bonjour Bella, je suis touchée par votre message. Je vous envoie un petit bonjour qui vous donnera peut-être une petite joie. Collectionnez les petites joies de chaque jour, regardez une jolie chose, une fleur, un chat qui joue, un visage...vous pourrez écrire ou dessiner ces moments dans un petit carnet qui vous aidera quand vous le feuilletterez. Peut-être vivez vous quelque chose de difficile, je prie pour vous.
Que votre sourire revienne ! Fraternellement.Catherine
Par Catherine V. le 10 août 2015 à 9 h 26
Oh j'ai un futur ! Merci Seigneur pour ta patience et ta bienveillance.
Merci frère pour cette belle méditation et à la communauté pour les partages et témoignages
Par Waton Sonia le 10 août 2015 à 9 h 14
Une grande joie aujourd'hui de nous donner ce temps de réfléxion , Oui , je ne suis pas plus que ceux qui m'entourent , oui , je reconnais que j'ai fais cette réfléxion , oh j'ai pas besoin de remettre à Dieu mes péchés , puisque le Seigneur connaît tout de moi , Merci à tous ceux qui nous aident à marcher sur le chemin du Seigneur , car j'étais une brebis égaré , je faisais en bonne conscience mais maintenant je sais que je dois faire la démarche de la réconsciliation , Merci chaque jour nous grandissons dans l'amour du Seigner
Par HUGUETTE le 10 août 2015 à 9 h 09
Dès l'enfance, la Petite Thérèse a voulu être sainte et a employé chaque minute de sa vie à le devenir. Charles de Foucauld a abandonné une vie tumultueuse et dissolue pour la consacrer ensuite au Christ. J'ose espérer que "la joie au ciel" aura été la même. mais pour abonder dans le sens de la méditation de Frère Jean Pierre, je reconnais être très heureuse de recevoir des nouvelles d'une personne chère longtemps absente
Par mahona le 10 août 2015 à 8 h 48
Merci Frère Jean-Pierre de ce commentaire, qui nous rappelle que nos brebis perdues ont pour noms : sourire, joie, écoute, soutien, respect dans nos paroles, nos attitudes, nos jugements, oui nous égarons chaque jour nos propres brebis... Je vous souhaite une belle montée vers la fête de l'Assomption.
Par Gigi le 10 août 2015 à 8 h 45
Je me suis souvent demandé pourquoi le Christ prenait le risque de laisser les 99 brebis. Votre proposition m'a fait réfléchir : je ne peux pas accepter votre idée que le Christ quitte des brebis pharisiennes. Je crois qu'il les laisse seules, parce qu'elles sont pleines de ressources, animées et nourries par l'amour qu'elles ont reçu et expérimenté et qu'elles partagent entre elles. Le démon séparateur dont nous parlions vendredi aura bien du mal à s'y attaquer. D'accord, elles sont sans doute assez fragiles, comme l'ont été les Apôtres après l'Ascension. Mais la pauvre brebis égarée n'est pas meilleure que celles du troupeau. Elle est surtout l'objet de la sollicitude du Fils, qui se met en route pour la ramener dans la chaleureuse Lumière du Père, et non pas pour la parquer à nouveau dans l'enclos bien fermé d' institutions cléricales.
Par Paul (Belgique) le 10 août 2015 à 8 h 44
Merci pour votre méditation quotidienne, que le Seigneur Jésus Christ vous bénisse abondement, fraternellement, jean-marc.
Par willy1959 le 10 août 2015 à 8 h 40
Super Marie D,bien dit.Merci
Par rigal le 10 août 2015 à 8 h 37
Pourquoi traiter de Pharisiens ceux que Jésus appelle JUSTES; Je pense à toutes ces personnes qui, tout au long de leur vie , au cours des siècles, ont modestement suivi le Christ, par une vie honnête . Pas toujours facile de vivre l'Evangile, d'aimer son voisin , de rester fidèle dans la vie de tous les jours de résister à la tentation dans un monde de plus en plus paganisé, de sourire , de donner un peu de son temps pour faire plaisir... C'est celui là que j'appelle Juste sans qu'il se prenne forcément pour un SAINT, loin de là et le crie à la face du monde. J'essaie , humblement d'en être un, et le revendique avec le soutien de la prière. Je n'ai aucune autosatisfaction et me reconnais pécheresse à sauver.
Marie.D
Par Deshayes le 10 août 2015 à 8 h 28
Trop de brebis sont encore égarées !
S'il n'y en avait qu'une seule, la difficulté de la faire revenir au troupeau serait moindre, mais elles sont si nombreuses qu'il appartient à chacune des brebis rentrées à la maison d'aller chercher les brebis égarées.
Vaste besogne, mais c'est ce que nous demande le Christ pour que nous puissions tous le rejoindre.
Prions pour les brebis égarées.
Par SYLVESTRE14 le 10 août 2015 à 8 h 24
J'appouve Mr Ribes, je comprends mal Mr Malo. Qu'il veuille bien respecter la ponctuation et non inventer la sienne. Je continue à suivre, et vous remercie. Audre
Par audre le 10 août 2015 à 8 h 09
Si tous mes cheveux sont compter, si tous les passages que je me permet de comprendre dans ce sens; je suis une merveille pour le Seigneur. Lorsque mon enfant fait une bêtise, je le gronde , discute avec lui , puis il essaye de réparer ce qu'il peut....MON AMOUR pour lui na pas défaï.....Hé bien je pense qu'il nous aime encore mieux, plus fort que l'Amour que j'ai pour les miens et pourtant il est fort déjas cette Amour!
Merci Seigneur de m'aimer autant et de vouloir pour moi ,mon bonheur.
Par rigal le 10 août 2015 à 8 h 03
Souvent je cherche ma brebis perdue. Elle s'appelle Joie. Elle est parfois égarée dans le passé et/ou se perd dans un futur inconnu, angoissant ou imaginaire. et c'est dans le présent qu'elle me manque.
Par Bella le 10 août 2015 à 7 h 54
Ainsi parle l'Esprit Saint ,frère Jean -Pierre ...
De votre bouche sort cette méditation ,nous mettant dans un désert de remise en questions ,sur le salut de cette espérance qui ne déçoit pas...Souvent les stigmates des prisonniers ,des brebis galeuses ;induisent les 99 autres à les oublier dans des oubliettes ;parmi ces brebis ;il y a ceux qui n'ont pas eu la chance d'être aimées , comme des êtres à part entière ,celles qui de par le monde sont noir de cette galle de la pauvreté ,de la violence ,de familles à éviter ,drogue ;alcool ,vol; jurons ;la haine du monde en somme .Nous on se distingue par cette vanité ,de croire dans le fait que ,nous ne sommes pas de ceux-là ....Alors que c'est à juste titre que Jésus ,nous prends dans ce désert ,pour parler à nos cœurs .Aller à l'encontre des autres ,avoir le courage d'oser ,d'essayer une approche ,avec toutes ces brebis galeuses ,et leurs faire connaître l'amour d'une main ,tendue ,d'un sourire ,c'est la porte de l'église grande ouverte sur la misère de ce monde ,c'est ensuite une communion qui se Porte autrement que dans des habitudes ,oui c'est donner à ces rencontres ;un Tabernacle Sacré :Le Christ dans toutes ces œuvres ,quand on laisse croître et grandir en nous cette Communion ,on passe vraiment le Jourdain...pour aller sur l'autre rive .Et la Prière prends tout un sens ,pour le salut du monde .Ayons à cœur une pensée ,une prière pour ces enfants de toutes les nations ;qui n'ont pas eu la chance d'être aimés .Seigneur enflamme en nous les qualités qui inspirent et soutient ,ceux qui portent cette Communion au dedans et au dehors ,donne force et courage ,donne-leurs le regard du Christ ;un cœur universelle dans l'éternel sagesse de Ta miséricorde .Nous ne sommes pas digne de Te recevoir ,mais dit seulement une Parole ...............
Merci frère Jean -Pierre ,de ce rayon de Lumière.(Je peux tout à celui qui me rends fort)d'une brebis parmi tant d'autres .
Par Fred le 10 août 2015 à 7 h 50
La personne divorcée, remariée civilement, n'est-elle pas un peu la "brebis perdue" ? l'institution "Eglise humaine" lui refuse le sacrement de réconciliation et l'Eucharistie... Seigneur, convertis nos coeurs à Ta Parole. Danielle
Par Bard le 10 août 2015 à 7 h 36
Il m'est arrivé d'être cette "brebis perdue" , mais c'était nécessaire pour moi pour ne pas être un "mouton" qui suit sans réfléchir , sans vouloir prendre position et donc sans vouloir prendre de risques...Cela peut nous conduire à ,quelques déboires mais au moins nous avons la tête haute...Aide moi Seigneur à aller aux périphéries comme le suggère notre Pape , à agir toujours avec discernement et loyauté...
Par Louis G le 10 août 2015 à 6 h 47
Bonjour
Pardonnez moi, mais il faudrait dire à Jean-Pierre Malo qu'il articule davantage, car il est très difficile à comprendre. Je pense que je ne dois pas être le seul à le constater, mais si je suis le seul à le dire, cela ne m'étonnerait pas.
Union de prières
Michel Ribes
Par Ribes Michel le 10 août 2015 à 6 h 44
j'ai été la brebis qui appelle au secours et qui en réponse a reçu du berger de son groupe de prière( appuyé du noyau) un rejet catégorique. Seigneur avec Toi aide -moi à pardonner.
Par marie le 10 août 2015 à 6 h 37
Je suis très touché par ce passage de l'évangile. Car il me rappelle que je ne suis qu'un pauvre pêcheur et que mon baptême et l'eucharistie la prière quotidienne ne suffisent pas pour rentrer dans le Royaume. Il faut que mes actes, en bref que ma vie soit conforme à la volonté du Père. Jésus dit que les prostituées et les pêcheurs nous précéderont dans le Royaume, que tout ce qui crient Seigneur ne rentreront pas dans la Maison du Père. Il faut être fidèle au Père, je ne le suis pas toujours. Nelson Mandela disait que le saint est un pêcheur qui se cherche, il a raison, vaut mieux ne pas être ce "juste" dont parle Jésus mais un pêcheur converti pour accéder au Royaume. Libère moi de mes certitudes, accorde moi la grâce de reconnaître que je ne suis peut pas me dire que je suis prêt pour être au banquet de notre Père, c'est Lui seul qui sait qui porte les habits de noce pour accueillir l'époux. Que l'Esprit Saint nous aide à être des fils de Dieu appelés à rentrer dans le Royaume par la sainteté de notre vie terrestre et cela exige de nous la fidélité.
Par Gilles le 10 août 2015 à 6 h 22
Rien nous dit que les 99 sont des pharisiens alors pourquoi les nommés comme tels dans votre commentaire ?nous sommes souvent à la fois brebis perdue et "autres ? Personne ne peut mesurer la Foi des autres , nous ne sommes pas dans le coeur de chacun et chacune … que le Seigneur vous bénisse .
Par martine le 10 août 2015 à 6 h 18
donne moi ce futur Seigneur que la foi me donne d 'espérer pour tous et pour moi-même.Que Marie m'aide par la prière que nous lui donnons
Par andre le 10 août 2015 à 6 h 14
Il ya quelques temps je me suis promenee et j ai ete dans un village tout pred de chez moi en alsace .pas un deule vie calme plat et rencontre une brebis égarée sur la route et j ai aperçu le regard de cette berbis .jamais je n ai pu imaginer l angoisse qui l habitait.en lisant ce matin cet evangile cela m a touché e et au fond on est cette brebis et cette nuit je prie jesus de nous chercher et m ouvrir et encore et encore nous toucher de sa misericorde .
Par Geneviève le 10 août 2015 à 4 h 51
Est-on jamais totalement perdu? J'ai parfois l'impression d'avoir pris beaucoup de chemins de traverse, fait des tours et des détours, m'être cognée à des murs, parfois m'être trompée à certains carrefours.
Pourtant, tout au long de ces chemins, même ceux qui ont prouvé être des impasses, même ceux qui m'ont écorché les pieds, j'ai appris. J'ai ramassé des petits cailloux au bord de ces chemins, ici une fleur, là une épine, comme autant de morceaux de puzzle dont je commence juste à réaliser qu'ils forment une seule et même image. Et cette image est réponse à cet appel en moi, cette image est plus forte et plus belle que tout ce que j'aurais pu imaginer.
La réponse est simple, au fond, simple et pourtant il m'a fallu tout ce temps, tous ces détours, pour que mes yeux s'ouvrent enfin. Dire "oui" au berger. Il sait mes peurs, il sait mes faiblesses. Mais peut-être est-ce cela qui donne tout son poids à ce "oui": quand je fais confiance malgré ma peur, quand je la dépasse. Quand je réalise que les épaules du berger sont là, offertes, pour porter mes faiblesses.
Par Audrey le 10 août 2015 à 3 h 26
Bienvenue à Pauline et merci à Léah, Marie et Marie-Madeleine pour leurs commentaires généreux et pleins d'amour ainsi que pour la référence du livre de chevet de Marie-Madeleine.
Que Notre Seigneur soit béni pour l'infinie Miséricorde qu'il nous accorde sans jamais désespérer de nous retrouver un jour...
Par Jean C. le 26 août 2014 à 23 h 09
Parents de cinq enfants, il nous est arrivé un jour de kermesse de plein air, d’entendre le micro signaler qu’un petit garçon d’environ trois ans attendait que ses parents viennent le chercher. Notre réaction fut immédiate, autour de nous se pressaient, un……deux………………trois……………quatre de nos poussins ; il nous manquait notre petit dernier qui attendait sur le podium, confiant et souriant, alors que nos cœurs battaient à tout rompre ! Même si la séparation fut brève, le choc était rude pour les parents et les frères et sœurs ; la joie du retour fut une avalanche de bisous suivie d’une grande fête aux cornets de glace ! !
Ce passage de l’évangile de Saint Luc me touche beaucoup.
J’ai lu, je relis, je médite et médite encore un livre qui est devenu mon livre de chevet, il est inépuisable. Il est aussi une merveilleuse préparation au Sacrement de Réconciliation. Il s’agit de : LE RETOUR DE L’ENFANT PRODIGUE de Henri J.M. Nouwen - Albin Michel.
Le point de départ est un tableau de Rembrandt – « le retour du fils prodigue ». L’auteur fasciné par ce tableau étudie chaque geste et attitude, chaque reflet et chaque couleur de chacun des personnages principaux : le Père, le fils cadet, le fils ainé. Chaque détail que l’auteur nous découvre, nous renvoie à nous-mêmes avec cette question : « Et moi, qu’aurais-je fait ? ………….. devant cet Amour miséricordieux et heureux du Père, aurais-je eu comme ce fils cadet cette attitude de repentir confiant devant un pardon donné avec tant d’amour ou serais-je le Fils aîné un peu jaloux, méditatif, hésitant, qui ne sait pas encore ……. Ce qu’il va faire ?
Dieu notre Père, enseigne à chacun de nous, au monde entier, combien nous comptons pour Toi, fais-nous comprendre combien est doux ton pardon, ouvre nos cœurs, afin que nous puissions accueillir ceux de nos frères qui souffrent et ceux que nous ne comprenons pas. Ecartes de nous la tentation !
Par Marie-Madeleine le 26 août 2014 à 17 h 59
Ce qui est curieux au premier abord ici et intéressant, c'est que tout en s'adressant aux hommes de son lieu et de son temps, dont beaucoup étaient bergers et qui, même sans cela, connaissaient bien les brebis ou les chèvres pour en avoir une ou deux chez eux, Jésus applique une logique qui n'est celle de l'homme.
En effet quel berger irait délaisser 99 brebis pour aller en chercher une seule?
Notre Seigneur le sait bien, lui qui connaît le cœur de l'homme, qui n'est pas rempli que bonté et de désintéressement, et souvent envahi par la peur de perdre.
Alors pourquoi user d'un exemple qui devrait parler aux gens mais en fait, ne correspond pas à leur attitude?
Personnellement, je le vois comme une petite provocation de la part de Jésus. Ce serait la bonne attitude à avoir, oui mais voilà, personne ne l'a. C'est pousser ses auditeurs, dont nous sommes nous aussi, en les piquant un peu, à réaliser qu'ils ne sont pas de bons bergers. C'est leur dire combien ils sont loin encore de ce royaume, ce royaume unique, où les bergers quittent sans peur du ravisseur toutes leurs brebis pour aller à la recherche de l'égarée et de plus, se réjouissent et font la fête avec amis et voisins comme pour un trésor retrouvé.
Ce royaume, c'est le royaume de Dieu, notre terre promise, la destination ultime à laquelle nous aspirons et voulons croire, c'est aussi, ne l'oublions pas, celui que nous sommes appelés à construire dès ici-bas, comme on le peut, avec notre bonne volonté et nos moyens, toujours plus d'amour.
Car en fait, ce berger qu'est-ce qui le différencie des bergers de notre monde? Il vit dans un monde sans ravisseur, un monde débarrassé du mal. Il vit dans l'amour qui donne la paix et la joie de partager l'amour.
Chère Léah,
notre Eglise a des défauts car elle est encore dans ce monde, elle est en marche, elle n'est pas encore le royaume de Dieu sur terre. Elle n'a pas atteint le degré perfection qui la transfigurera. Elle chemine, se corrige ici, pèche encore là. La parabole de la brebis égarée s'applique bien évidemment à Elle aussi. Est-elle ce pasteur du Royaume qui s'occupe d'une seule égarée en lâchant les autres? Non, elle tend vers, mais elle n'est pas.
Notre Pape donnait avec humour une recommandation à ses prêtres et aussi à nous, simples chrétiens, l'an dernier :
"Dans l'Évangile, il est beau le passage qui nous raconte que le berger revient et s'aperçoit qu'il lui manque une de ses 99 brebis et part la chercher... Frères et soeurs, mais nous en avons une seule, il nous en manque 99 !...Nous devons demander au Seigneur la générosité, le courage et la patience pour sortir et annoncer l'Évangile, Il est plus facile de rester à la maison avec notre unique brebis, pour la brosser et la caresser, mais nous les prêtres et tous les chrétiens, le Seigneur veut que nous soyons des pasteurs, pas des brosseurs de brebis."
Vous voyez, c'est le chef de l'Eglise qui s'exprime ainsi pour inciter toute l'Eglise, pasteurs et fidèles, à aller à la recherche des brebis perdues, aller dans les périphéries, comme il aime à le dire.
Nous sommes en plein dans votre sujet.
Et puis et surtout, l’Eglise, c’est nous tous. A nous de la faire changer, bouger, évoluer, au moins dans nos communautés. C’est possible, il faut du temps et de l’implication personnelle, il faut entraîner par l’exemple plus que par la parole ou les récriminations. Et ça marche…..
Vous agissez, vous repérez deux ou trois qui sont d'accord avec vous et adoptent votre attitude d'accueil, au bout d'un certain temps, presque tous auront changé. C'est arrivé dans ma paroisse. Les personnes qui vont tous les jours à la messe ne se parlaient pour ainsi dire pas. Pas d'accueil des nouveaux arrivants. Pas de chaleur. Comme si nous n'avions pas communié ensemble!
C'était avant!
Tout a changé. Maintenant, nous discutons, nous prenons soin les uns des autres, si l'un est absent, nous nous en inquiétons, et ceux qui doivent s'absenter le disent aux autres pour ne pas le inquiéter. Tous ne participent avec la même ouverture, chacun selon ses moyens, mais je n'ai jamais entendu quelqu'un se plaindre de la nouvelle atmosphère.
Ce qui est possible ici avec ceci est aussi possible là avec cela.
J'en suis convaincue. Lancez-vous et vous m'en direz des nouvelles!
Par marie le 26 août 2014 à 17 h 00
Le message est-il encore d'actualité dans nos églises où l'impression est plutôt donnée que seuls les justes y ont leur place et que la brebis perdue tant pis pour elle , pas de tolérance pour ses foucades et ses erreurs , qu'elle aille se faire voir ailleurs !
Nous nous érigeons toujours en juge de notre prochain , oublieux de notre péché pour ne voir que celui de notre frère , péché souvent plus minime que le nôtre mais qui nous semble pourtant impardonnable .
C'est l'histoire de David .
L'homme est toujours semblable à l'homme , et ce, sous toutes les latitudes !
C'est bien la paille et la poutre , Jésus nous disant : "ôte-toi la poutre que tu as dans l'oeil pour pouvoir distinguer la paille dans l'oeil de ton frère :"
Et nous nous étonnons de constater que nos églises se vident inexorablement .
Par Léah le 26 août 2014 à 13 h 37
Merci à ma maman des bois pour la decouverte de ce site.
Par pauline le 26 août 2014 à 7 h 33